Lors du concert de clôture dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 avril 2016 du festival international de reggae d’Abidjan, nous avons rencontré le promoteur de l’événement, le ministre Dosso Moussa pour faire le point.
Que dire de cette deuxième édition du festival de reggae d’Abidjan ?
La deuxième édition est bien meilleure que la première. C’est bien normal car nous sommes en pleine croissance. La première mission que nous nous sommes assigné, est de positionner Abi-reggae comme étant la première manifestation culturelle annuelle du genre de la sous-région, puis continental et par la suite au niveau universel de par la qualité des colloques, des conférences et des invités. Avant-hier(vendredi 08 avril ) c’était Ismaël Isaac qui quittait le palais de la Culture pratiquement à 7 heures du matin. Hier, nous avons vu Morgan-Héritage nous faire vibrer. Il y avait Mutabaruka, Tiken Jah, Julian Marley et bien d’autres. Tous ces artistes pour montrer la joie de vivre que procure Abi-reggae. N’oublions pas que le 13 mars 2016, il y a eu l’attaque de Bassam et pour nous, promoteurs d’Abi-reggae, c’était notre façon à nous de contribuer à cet élan de solidarité et de faire de la Cote d’Ivoire comme le veut le Président Alassane Ouattara, un pays industrialisé où tous les segments de l’activité économique, politique et social puissent être au même diapason. Aujourd’hui, nous avons Abi-reggae, Hier c’était le Masa et Kolia- festival. Demain, on assistera au Femua et c’est tout cela qui anime les activités culturelles en Côte d’Ivoire.
Quel mi-bilan pouvez-vous faire ?
Le constat que moi-même, j’ai fait pour l’entrée, hier (samedi 09 avril) est que le rang des festivaliers à Abi-reggae allait jusqu’au-delà de la garde républicaine. Je peux vous assurer une chose, cela fait longtemps que je participe aux activités culturelles et c’est la toute première fois que je vois autant d’engouement avec des rangs se multiplier jusqu’à 2 heures du matin. Au-delà de tout cela, j’ai compris le message des Ivoiriens, c’est celui de la joie de vivre. Je crois qu’ensemble, nous oublierons ce qui s’est passé hier (samedi 09 avril) et gagner le pari de faire d’Abi-reggae, un festival universel. Cette édition a vu la participation de plusieurs nationalités de différents continents et l’élément révélateur du rôle intégrateur que joue Abi-reggae est la contribution financière de l’institution de l’Uemoa à Abi-reggae. Cette édition fut belle et nous espérons que la troisième édition connaîtra une réussite encore plus grande. J’en suis satisfait.
Vous avez parlé de la présence de Chris Black well mais il a brillé de son absence pendant ces deux éditions ?
Pour commencer, je n’ai pas dit que Chris Black Well sera présent cette année. Mais, j’ai plutôt dit qu’il devait venir, et là-dessus, j’ai des éléments de preuves que nous avons diffusés lors de la cérémonie de lancement. Cependant, ce monsieur à la dimension de Jimmy Cliff et je crois que le plus important, ce sont les engagements que nous prenons et que nous nous efforçons de respecter. C’est vrai qu’il a promis venir à Abi-reggae mais, il a été absent. Mais, on y travaille afin qu’il vienne pour le plaisir des Ivoiriens. Je ferai tout au mois d’août si le gouvernement me donne des vacances pour me rendre en Jamaïque afin d’échanger avec des messieurs tels que Jimmy Cliff et autres. Et lors de la réunion-bilan, je vous dévoilerai avec précision la liste des artistes à Abi-reggae pour l’édition 2017. Nous avons reçu beaucoup de demandes et nous examinerons en tenant compte de la disponibilité du calendrier. Nous avons choisi avril parce qu’on ne peut pas aller au-delà à cause de la saison des pluies et lorsqu’on prend le mois de juin, les festivals commencent en Europe et dans le monde. Nous sommes nouveaux et si nous ne faisons pas attention à ces détails, nous risquons de rater notre festival. Et même en avril, il a pleut. Mais, cela n’a pas gâché la fête.
En Afrique, nous avons un réel problème d’archivage, alors pour Abi-reggae, est-ce que nous pouvons nous assurer que la première et la deuxième édition auront une bonne mémoire ?
Je tiens à vous assurer que nous avons tout en boîte. Et hier, avec la contribution de certains conférenciers, tous les dossiers leur seront ramenés pour corrections de 2015 à 2016. Vous avez certainement vu, il y avait tout une cabine dédiée à la captation d’images. Des arrivées des artistes à la prise d’images sur scènes. Tout a été préservé et numérisé. Je pense qu’on n’aura pas beaucoup de mal à les restituer. Je parlerai avec la Rti pour communiquer sur un certain nombre de support. Nous nous sommes engagés avec certains conférenciers qui désirent avoir certains organes de leur pays et je crois qu’on le fera en 2017.
M.Ouattara / Coll: SK
Que dire de cette deuxième édition du festival de reggae d’Abidjan ?
La deuxième édition est bien meilleure que la première. C’est bien normal car nous sommes en pleine croissance. La première mission que nous nous sommes assigné, est de positionner Abi-reggae comme étant la première manifestation culturelle annuelle du genre de la sous-région, puis continental et par la suite au niveau universel de par la qualité des colloques, des conférences et des invités. Avant-hier(vendredi 08 avril ) c’était Ismaël Isaac qui quittait le palais de la Culture pratiquement à 7 heures du matin. Hier, nous avons vu Morgan-Héritage nous faire vibrer. Il y avait Mutabaruka, Tiken Jah, Julian Marley et bien d’autres. Tous ces artistes pour montrer la joie de vivre que procure Abi-reggae. N’oublions pas que le 13 mars 2016, il y a eu l’attaque de Bassam et pour nous, promoteurs d’Abi-reggae, c’était notre façon à nous de contribuer à cet élan de solidarité et de faire de la Cote d’Ivoire comme le veut le Président Alassane Ouattara, un pays industrialisé où tous les segments de l’activité économique, politique et social puissent être au même diapason. Aujourd’hui, nous avons Abi-reggae, Hier c’était le Masa et Kolia- festival. Demain, on assistera au Femua et c’est tout cela qui anime les activités culturelles en Côte d’Ivoire.
Quel mi-bilan pouvez-vous faire ?
Le constat que moi-même, j’ai fait pour l’entrée, hier (samedi 09 avril) est que le rang des festivaliers à Abi-reggae allait jusqu’au-delà de la garde républicaine. Je peux vous assurer une chose, cela fait longtemps que je participe aux activités culturelles et c’est la toute première fois que je vois autant d’engouement avec des rangs se multiplier jusqu’à 2 heures du matin. Au-delà de tout cela, j’ai compris le message des Ivoiriens, c’est celui de la joie de vivre. Je crois qu’ensemble, nous oublierons ce qui s’est passé hier (samedi 09 avril) et gagner le pari de faire d’Abi-reggae, un festival universel. Cette édition a vu la participation de plusieurs nationalités de différents continents et l’élément révélateur du rôle intégrateur que joue Abi-reggae est la contribution financière de l’institution de l’Uemoa à Abi-reggae. Cette édition fut belle et nous espérons que la troisième édition connaîtra une réussite encore plus grande. J’en suis satisfait.
Vous avez parlé de la présence de Chris Black well mais il a brillé de son absence pendant ces deux éditions ?
Pour commencer, je n’ai pas dit que Chris Black Well sera présent cette année. Mais, j’ai plutôt dit qu’il devait venir, et là-dessus, j’ai des éléments de preuves que nous avons diffusés lors de la cérémonie de lancement. Cependant, ce monsieur à la dimension de Jimmy Cliff et je crois que le plus important, ce sont les engagements que nous prenons et que nous nous efforçons de respecter. C’est vrai qu’il a promis venir à Abi-reggae mais, il a été absent. Mais, on y travaille afin qu’il vienne pour le plaisir des Ivoiriens. Je ferai tout au mois d’août si le gouvernement me donne des vacances pour me rendre en Jamaïque afin d’échanger avec des messieurs tels que Jimmy Cliff et autres. Et lors de la réunion-bilan, je vous dévoilerai avec précision la liste des artistes à Abi-reggae pour l’édition 2017. Nous avons reçu beaucoup de demandes et nous examinerons en tenant compte de la disponibilité du calendrier. Nous avons choisi avril parce qu’on ne peut pas aller au-delà à cause de la saison des pluies et lorsqu’on prend le mois de juin, les festivals commencent en Europe et dans le monde. Nous sommes nouveaux et si nous ne faisons pas attention à ces détails, nous risquons de rater notre festival. Et même en avril, il a pleut. Mais, cela n’a pas gâché la fête.
En Afrique, nous avons un réel problème d’archivage, alors pour Abi-reggae, est-ce que nous pouvons nous assurer que la première et la deuxième édition auront une bonne mémoire ?
Je tiens à vous assurer que nous avons tout en boîte. Et hier, avec la contribution de certains conférenciers, tous les dossiers leur seront ramenés pour corrections de 2015 à 2016. Vous avez certainement vu, il y avait tout une cabine dédiée à la captation d’images. Des arrivées des artistes à la prise d’images sur scènes. Tout a été préservé et numérisé. Je pense qu’on n’aura pas beaucoup de mal à les restituer. Je parlerai avec la Rti pour communiquer sur un certain nombre de support. Nous nous sommes engagés avec certains conférenciers qui désirent avoir certains organes de leur pays et je crois qu’on le fera en 2017.
M.Ouattara / Coll: SK