Grand-Bassam - Le maire George Philippe Ezaley a rassuré la population bassamoise sur la reprise des activités économiques dans sa commune, un mois après l’attentat terroriste qui fait a fait officiellement 19 morts et plusieurs blessés.
« Il y a un mois, jour pour jour, qu’un attentat a été perpétré sur les plages de Grand-Bassam, frappant ainsi pour la première fois toute la Côte d’Ivoire. Depuis ce jour, les activités économiques ont pris un coup à cause de la baisse des affluences des visiteurs (…) Cependant, nous avons une force de résilience pour relancer ces activités, car des mesures sécuritaires ont été renforcées partout dans la ville », a déclaré le maire de la ville balnéaire du Sud-est du pays, lors d’un point de presse animé mercredi à la salle de délibérations de la mairie.
Faisant le point de la situation sociale après l’attentat, il a indiqué que la municipalité de Grand-Bassam a entrepris, dès les premières heures, des visites de solidarité et de compassion dans les quartiers et villages de la commune. « Nous avons sillonné toute la ville, quartiers et villages pour apporter notre compassion et nous avons aussi rencontré les hôteliers et restaurateurs, les artisans, les commerçants et transporteurs », a dit George Philippe Ezaley.
Il a annoncé une série d’activités pour briser la psychose des populations et inciter les visiteurs dans la ville de Grand-Bassam. Il s’agit, entre autres, de l’organisation d’un marathon sur les plages, des manifestations culinaires aussi bien sur les plages que dans les restaurants de la ville ainsi que d’une exposition gratuite des artisans et commerçants.
Le maire Ezaley a aussi plaidé pour que les séminaires gouvernementaux soient délocalisés à Grand-Bassam, ajoutant qu’un monument aux disparus est, par ailleurs, prévu. Pour ce faire, un appel à sélection des artisans pour marquer un attachement aux vaillants héros, à travers la construction d’un monument va être lancé.
« Il faut que la nation et le monde entier sachent que nous avons tourné cette page noire et que nous sommes en train de reconstruire Grand-Bassam, ville culturelle, balnéaire, paisible. C’est notre label ! », a-t-il conclu.
Ko/kp
« Il y a un mois, jour pour jour, qu’un attentat a été perpétré sur les plages de Grand-Bassam, frappant ainsi pour la première fois toute la Côte d’Ivoire. Depuis ce jour, les activités économiques ont pris un coup à cause de la baisse des affluences des visiteurs (…) Cependant, nous avons une force de résilience pour relancer ces activités, car des mesures sécuritaires ont été renforcées partout dans la ville », a déclaré le maire de la ville balnéaire du Sud-est du pays, lors d’un point de presse animé mercredi à la salle de délibérations de la mairie.
Faisant le point de la situation sociale après l’attentat, il a indiqué que la municipalité de Grand-Bassam a entrepris, dès les premières heures, des visites de solidarité et de compassion dans les quartiers et villages de la commune. « Nous avons sillonné toute la ville, quartiers et villages pour apporter notre compassion et nous avons aussi rencontré les hôteliers et restaurateurs, les artisans, les commerçants et transporteurs », a dit George Philippe Ezaley.
Il a annoncé une série d’activités pour briser la psychose des populations et inciter les visiteurs dans la ville de Grand-Bassam. Il s’agit, entre autres, de l’organisation d’un marathon sur les plages, des manifestations culinaires aussi bien sur les plages que dans les restaurants de la ville ainsi que d’une exposition gratuite des artisans et commerçants.
Le maire Ezaley a aussi plaidé pour que les séminaires gouvernementaux soient délocalisés à Grand-Bassam, ajoutant qu’un monument aux disparus est, par ailleurs, prévu. Pour ce faire, un appel à sélection des artisans pour marquer un attachement aux vaillants héros, à travers la construction d’un monument va être lancé.
« Il faut que la nation et le monde entier sachent que nous avons tourné cette page noire et que nous sommes en train de reconstruire Grand-Bassam, ville culturelle, balnéaire, paisible. C’est notre label ! », a-t-il conclu.
Ko/kp