L’Organisation des Nations Unies a donné le coup d’envoi mardi 12 avril 2016 d’une procédure inédite dans son histoire avec des rencontres publiques entre l’Assemblée générale et chaque candidat au poste de Secrétaire général de l’ONU.
«Pour la première fois dans les 70 ans d’histoire de cette Organisation, le processus pour sélectionner et nommer le prochain Secrétaire général est véritablement guidé par les principes de transparence et d’ouverture, et les dialogues que nous commençons aujourd’hui sont au cœur de ce changement», a déclaré le Président de l’Assemblée générale des Nations Unies, Mogens Lykketoft, au début de ce processus. «Alors que l’ONU doit faire face à des crises multiples et que l’Organisation doit affronter des questions fondamentales concernant son propre rôle et son fonctionnement, trouver le meilleur candidat possible pour succéder au Secrétaire général Ban Ki-moon est absolument crucial», a-t-il ajouté. Il y a huit candidats pour remplacer l’actuel Secrétaire général Ban Ki-moon dont le mandat expire le 31 décembre 2016. Ces rencontres s’étaleront sur trois jours. Chaque candidat a deux heures au cours desquelles il doit faire une présentation orale de sa candidature et répondre à des questions posées par les Etats membres et la société civile. Les candidats, dont quatre hommes et quatre femmes, sont : M. Srgjan Kerim, de l’ex-République yougoslave de Macédoine, Mme Vesna Pusic, de la Croatie, M. Igor Luksic, du Monténégro, M. Danilo Türk, de la Slovénie, Mme Irina Bokova, de la Bulgarie, Mme Natalia Gherman, de la République de Moldavie, M. Antonio Guterres, du Portugal, et Mme Helen Clark, de la Nouvelle-Zélande. Le mardi dernier trois candidats devaient passer devant l’Assemblée générale. Tout d’abord, Igor Luksic, le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de l’Intégration européenne du Monténégro. Ensuite, Irina Bokova, l’actuelle Directrice générale de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) et enfin, Antonio Guterres, qui était récemment encore Haut-commissaire des Nations Unies pour les réfugiés.
Alors qu’en apparence ces dialogues publics informels ne semblent pas révolutionnaires, il s’agit vraiment d’une nouveauté. Les huit Secrétaires généraux que l’ONU a eus en 70 ans d’existence ont tous été sélectionnés dans le cadre d’un processus relativement fermé par les 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
GK
«Pour la première fois dans les 70 ans d’histoire de cette Organisation, le processus pour sélectionner et nommer le prochain Secrétaire général est véritablement guidé par les principes de transparence et d’ouverture, et les dialogues que nous commençons aujourd’hui sont au cœur de ce changement», a déclaré le Président de l’Assemblée générale des Nations Unies, Mogens Lykketoft, au début de ce processus. «Alors que l’ONU doit faire face à des crises multiples et que l’Organisation doit affronter des questions fondamentales concernant son propre rôle et son fonctionnement, trouver le meilleur candidat possible pour succéder au Secrétaire général Ban Ki-moon est absolument crucial», a-t-il ajouté. Il y a huit candidats pour remplacer l’actuel Secrétaire général Ban Ki-moon dont le mandat expire le 31 décembre 2016. Ces rencontres s’étaleront sur trois jours. Chaque candidat a deux heures au cours desquelles il doit faire une présentation orale de sa candidature et répondre à des questions posées par les Etats membres et la société civile. Les candidats, dont quatre hommes et quatre femmes, sont : M. Srgjan Kerim, de l’ex-République yougoslave de Macédoine, Mme Vesna Pusic, de la Croatie, M. Igor Luksic, du Monténégro, M. Danilo Türk, de la Slovénie, Mme Irina Bokova, de la Bulgarie, Mme Natalia Gherman, de la République de Moldavie, M. Antonio Guterres, du Portugal, et Mme Helen Clark, de la Nouvelle-Zélande. Le mardi dernier trois candidats devaient passer devant l’Assemblée générale. Tout d’abord, Igor Luksic, le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de l’Intégration européenne du Monténégro. Ensuite, Irina Bokova, l’actuelle Directrice générale de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) et enfin, Antonio Guterres, qui était récemment encore Haut-commissaire des Nations Unies pour les réfugiés.
Alors qu’en apparence ces dialogues publics informels ne semblent pas révolutionnaires, il s’agit vraiment d’une nouveauté. Les huit Secrétaires généraux que l’ONU a eus en 70 ans d’existence ont tous été sélectionnés dans le cadre d’un processus relativement fermé par les 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
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