Le vice-président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci) en charge de la promotion, de la stratégie, de la prospective et de Cgeci Academy, Alain Kouadio, a invité, le 14 avril, les opérateurs économiques mauriciens à participer au forum économique d’Abidjan, les 21 et 22 avril. Il a lancé, avec insistance, cet appel lors de la conférence de presse qu’il a donnée, à Ebène, à l’Île Maurice, au terme de la visite officielle de la délégation ivoirienne. Mission qui a débuté le 11 avril dans le cadre de la préparation de la 5e édition de la Cgeci Academy. Il a expliqué que l’Île Maurice est le « Pays invité d’honneur » à cette rencontre qui prend de l’ampleur passant de 500 à 4500 participants. Face au secteur privé, il présentera son modèle de réussite. du patronat ivoirien en raison de son développement qui le classe au premier rang à « tous les niveaux » en Afrique, selon le conférencier. Notamment pour sa richesse, sa stabilité politique et sa bonne gouvernance économique. Il faut avoir «une approche business », a-t-il pour tirer avantage de tous défis que doit relever le pays. Notamment en matière de déficit d’infrastructures, de structures sanitaires, éducatives, touristiques, d’eau et d’électricité. « C’est un pays en construction et tous les secteurs sont pourvoyeurs de richesses », a dit Alain Kouadio. Cependant, précise-t-il, le pays est l’un des mieux lotis de la sous-région en matière de routes. Mieux, il constitue « la porte d’entrée dans l’Uemoa et la Cedeao qui compte 300 millions d’habitants ». Même si des fonds commeAfrica50 permettront de réaliser de grandes infrastructures, il pense que Maurice a sa part à prendre dans le développement.
Un déplacement qui sera, a-t-il dit, des possibilités de partage d’expérience et consolidation de la richesse. Estimant que Côte d’Ivoire offre toutes les opportunités d’investissements. Comme si la décennie de crise qui a marqué un coût d’arrêt dans le processus de développement après les trente glorieuses avait été une occasion de rebondir.
Selon lui, le pays a connu un coup d’arrêt que le pays a connu a créé des opportunités dans tous les domaines : agro-industrie, santé, éducation, infrastructures, industrialisation pour transformer les produits agricoles dans lesquels le pays excelle, à commencer par le cacao. Au plan diplomatique, l’ambassadeur Ly a assuré qu’un accord d’établissement des relations diplomatiques a été signé le 4 mars dernier et que les négociations sont en cours pour les relations.
Richard Arlove, Dg de Abax et coordonnateur de la mission pour le compte de la Cgeci a affirmé que les défis sont autant d’opportunités pour les Mauriciens. Par ailleurs, les conditions sécuritaires sont réunies.
Le 13 avril, le ministre des Affaires étrangères a souhaité la réciprocité dans la délivrance des visas en exemptant les Mauriciens car cela constitue un obstacle majeurs aux échanges.
PAULIN N. ZOBO
Un déplacement qui sera, a-t-il dit, des possibilités de partage d’expérience et consolidation de la richesse. Estimant que Côte d’Ivoire offre toutes les opportunités d’investissements. Comme si la décennie de crise qui a marqué un coût d’arrêt dans le processus de développement après les trente glorieuses avait été une occasion de rebondir.
Selon lui, le pays a connu un coup d’arrêt que le pays a connu a créé des opportunités dans tous les domaines : agro-industrie, santé, éducation, infrastructures, industrialisation pour transformer les produits agricoles dans lesquels le pays excelle, à commencer par le cacao. Au plan diplomatique, l’ambassadeur Ly a assuré qu’un accord d’établissement des relations diplomatiques a été signé le 4 mars dernier et que les négociations sont en cours pour les relations.
Richard Arlove, Dg de Abax et coordonnateur de la mission pour le compte de la Cgeci a affirmé que les défis sont autant d’opportunités pour les Mauriciens. Par ailleurs, les conditions sécuritaires sont réunies.
Le 13 avril, le ministre des Affaires étrangères a souhaité la réciprocité dans la délivrance des visas en exemptant les Mauriciens car cela constitue un obstacle majeurs aux échanges.
PAULIN N. ZOBO