Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le rappeur sénégalais engagé, Didier Awadi, Co-fondateur de Positive Black Soul a estimé, jeudi à Abidjan, que l’enjeu pour les artistes africains aujourd’hui, est la question des droits par rapport à la musique véhiculée à travers le numérique.
« Aujourd'hui, ce n'est pas le piratage artisanal notre problème, mais c'est d'avoir les droits par rapport à la musique qui se conjugue au numérique », décrie Awadi dans un entretien accordé à l'Agence de Presse Africaine (APA) dans la capitale économique ivoirienne où il séjourne dans le cadre du Festival des musiques urbaines d ‘Anoumabo (FEMUA).
« Ces pirates à travers le net collectent des droits à notre nom qui ne sont jamais redistribués », s'insurge le lauréat du prix RFI Musiques du monde 2003 qui participe activement aux rencontres professionnelles autour du futur de la musique en Afrique et ses nouvelles réalités économiques organisées dans le cadre de ce festival.
Expliquant son agenda lors de ce séjour aux bords de la lagune Ebrié, Awadi indique qu'il prend part à « ces rencontres professionnelles avec le réseau Equation music pour essayer de comprendre un peu les
initiatives par rapport à la musique dans ce monde en mutation ».
« Je viens m'inspirer, apprendre, regarder ce qui est pertinent. J'irai pour le FEMUA regarder des concerts, voir mes collègues », confie-t-il.
L'auteur des albums Kaddu Gor, (Parole d'honneur en français), Un autre monde est possible (2005), Sunnugaal (2006), Président d'Afrique(2010), Ma révolution (2012) annonce un nouvel album pour septembre prochain avec toujours des messages à la jeunesse africaine.
Placée sous le thème, "Jeunesse et Développement", cette FEMUA 9 parrainée par l'ex- chef de l'Etat ivoirien, Henri Konan Bédié, a été ouverte mardi en sa présence.
Les scènes de ce festival prévu à Anoumabo (Abidjan) et Korhogo (633 km au Nord d'Abidjan), enregistreront la participation de plusieurs artistes. Il s'agit notamment d'IJah Man (Jamaïque), Kerry James (France), Charlotte Dipanda (Cameroun), Papa Wemba (RD Congo), Toofan (Togo) et John Kiffiz (Côte d' Ivoire).
SY/hs/ls/APA
« Aujourd'hui, ce n'est pas le piratage artisanal notre problème, mais c'est d'avoir les droits par rapport à la musique qui se conjugue au numérique », décrie Awadi dans un entretien accordé à l'Agence de Presse Africaine (APA) dans la capitale économique ivoirienne où il séjourne dans le cadre du Festival des musiques urbaines d ‘Anoumabo (FEMUA).
« Ces pirates à travers le net collectent des droits à notre nom qui ne sont jamais redistribués », s'insurge le lauréat du prix RFI Musiques du monde 2003 qui participe activement aux rencontres professionnelles autour du futur de la musique en Afrique et ses nouvelles réalités économiques organisées dans le cadre de ce festival.
Expliquant son agenda lors de ce séjour aux bords de la lagune Ebrié, Awadi indique qu'il prend part à « ces rencontres professionnelles avec le réseau Equation music pour essayer de comprendre un peu les
initiatives par rapport à la musique dans ce monde en mutation ».
« Je viens m'inspirer, apprendre, regarder ce qui est pertinent. J'irai pour le FEMUA regarder des concerts, voir mes collègues », confie-t-il.
L'auteur des albums Kaddu Gor, (Parole d'honneur en français), Un autre monde est possible (2005), Sunnugaal (2006), Président d'Afrique(2010), Ma révolution (2012) annonce un nouvel album pour septembre prochain avec toujours des messages à la jeunesse africaine.
Placée sous le thème, "Jeunesse et Développement", cette FEMUA 9 parrainée par l'ex- chef de l'Etat ivoirien, Henri Konan Bédié, a été ouverte mardi en sa présence.
Les scènes de ce festival prévu à Anoumabo (Abidjan) et Korhogo (633 km au Nord d'Abidjan), enregistreront la participation de plusieurs artistes. Il s'agit notamment d'IJah Man (Jamaïque), Kerry James (France), Charlotte Dipanda (Cameroun), Papa Wemba (RD Congo), Toofan (Togo) et John Kiffiz (Côte d' Ivoire).
SY/hs/ls/APA