Abidjan – La direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique veut mettre en place des mécanismes destinés à améliorer les performances des projets en leur assurant un taux de décaissement optimal, à l’occasion d’un atelier qu’il organise, du 27 au 29 avril, sur le thème « La problématique du faible taux de décaissement des projets cofinancés ».
Il s’agit, lors de cet atelier d’approfondir l’identification des difficultés en recueillant la contribution de chaque acteur agissant sur les projets de développement et d’élaborer des résolutions consensuelles pour améliorer les taux d’absorption des fonds mis à la disposition de la Côte d’Ivoire, d’une part, et d’autre part proposer un plan d’actions pour améliorer les taux de décaissement.
A terme, cet atelier devrait permettre l’amélioration de la qualité des études de faisabilité des projets, le règlement dans les délais les contreparties ivoiriennes des financements, l’accélération des procédures de passation de marché, le traitement avec célérité des factures ou décomptes de travaux au niveau des unités de gestion des projets.
Le gouvernement ivoirien, face à la faiblesse du taux de décaissement sur certains projets, a pris des textes en vue d’améliorer et de renforcer le cadre juridique de gestion des projets cofinancés. En dépit de cette avancée, force est de constater que la plupart des projets de développement ne se réalise pas dans les délais prescrits, mettant à mal le processus de programmation budgétaire.
kkf/ask
Il s’agit, lors de cet atelier d’approfondir l’identification des difficultés en recueillant la contribution de chaque acteur agissant sur les projets de développement et d’élaborer des résolutions consensuelles pour améliorer les taux d’absorption des fonds mis à la disposition de la Côte d’Ivoire, d’une part, et d’autre part proposer un plan d’actions pour améliorer les taux de décaissement.
A terme, cet atelier devrait permettre l’amélioration de la qualité des études de faisabilité des projets, le règlement dans les délais les contreparties ivoiriennes des financements, l’accélération des procédures de passation de marché, le traitement avec célérité des factures ou décomptes de travaux au niveau des unités de gestion des projets.
Le gouvernement ivoirien, face à la faiblesse du taux de décaissement sur certains projets, a pris des textes en vue d’améliorer et de renforcer le cadre juridique de gestion des projets cofinancés. En dépit de cette avancée, force est de constater que la plupart des projets de développement ne se réalise pas dans les délais prescrits, mettant à mal le processus de programmation budgétaire.
kkf/ask