Vavoua - Quatre-vingt dix-huit pour cent d’infirmeries privées fonctionnent dans l’illégalité à Vavoua, a révélé le directeur départemental de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Agossou Rodrigue.
Selon le Dr Agossou, pour ouvrir une infirmerie privée, il faut avoir le diplôme d’infirmier d’Etat. Or, a-t-il précisé, il n’y a que deux infirmeries dont les fondateurs sont de véritables infirmiers d’Etat sur la centaine ouverte dans le département de Vavoua.
Les autres sont détenues par des aides-soignants dont l’action s’arrête à la petite chirurgie et à faire des injections aux patients, a déploré le spécialiste, justifiant la raison du maintien de ces centres de soins dans l’illégalité par le fait que les populations n’arrivent pas à se détacher totalement des habitudes liées à la crise de 2002.
Le patron du district sanitaire de Vavoua a exprimé sa volonté de sensibiliser les propriétaires de ces officines médicales afin de les amener à se conformer à la loi en vigueur.
Les soins de chirurgie et surtout de gynécologie sont malheureusement pratiqués dans ces centres privés souvent construits avec des matériaux précaires, a-t-il regretté.
(AIP)
sk/fmo/akn/kp
Selon le Dr Agossou, pour ouvrir une infirmerie privée, il faut avoir le diplôme d’infirmier d’Etat. Or, a-t-il précisé, il n’y a que deux infirmeries dont les fondateurs sont de véritables infirmiers d’Etat sur la centaine ouverte dans le département de Vavoua.
Les autres sont détenues par des aides-soignants dont l’action s’arrête à la petite chirurgie et à faire des injections aux patients, a déploré le spécialiste, justifiant la raison du maintien de ces centres de soins dans l’illégalité par le fait que les populations n’arrivent pas à se détacher totalement des habitudes liées à la crise de 2002.
Le patron du district sanitaire de Vavoua a exprimé sa volonté de sensibiliser les propriétaires de ces officines médicales afin de les amener à se conformer à la loi en vigueur.
Les soins de chirurgie et surtout de gynécologie sont malheureusement pratiqués dans ces centres privés souvent construits avec des matériaux précaires, a-t-il regretté.
(AIP)
sk/fmo/akn/kp
