Grand-Bassam (Côte d’Ivoire) - Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian s’est dit "déterminé" samedi à combattre la "barbarie" en se recueillant à la station balnéaire de Grand-Bassam, théâtre d’un attentat jihadiste sanglant le 13 mars près d’Abidjan, capitale
ivoirienne.
Il a déposé une gerbe près de la plage où les assaillants avaient commencé à tirer puis s’est rendu à l’Etoile du Sud, un hôtel ciblé lors de l’attaque.
"Émotion, compassion et détermination sont les trois sentiments qui sont les miens en me recueillant à Grand-Bassam", a-t-il écrit sur le livre d’or de l’hôtel.
"Nous sommes déterminés avec les autorités de Côte d’Ivoire à nous battre ensemble pour nos libertés et contre la barbarie", a ajouté M. Le Drian qui avait annoncé la veille un renforcement des effectifs militaires français en Côte d’Ivoire qui passeront de 600 à 900.
Le 13 mars, trois assaillants avaient remonté la plage de Grand-Bassam, tirant au hasard et attaquant plusieurs restaurants. Ils avaient tué 19 personnes, dont quatre Français, et en avaient blessé une vingtaine d’autres.
L’atttaque a été revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) que l’armée française combat au Sahel dans le cadre de l’opération Barkhane. Deux Maliens soupçonnés d’implication dans l’attentat ont été arrêtés fin mars dans le nord du Mali.
"Ce mal est le même ici qu’au Levant, en France ou en Belgique", a déclaré Jean-Vves Le Drian sur la plage de Grand-Bassam.
La station balnéaire, un lieu de villégiature prisé à une vingtaine de kilomètres de la capitale ivoirienne, accuse encore le coup des attentats.
La plage bordée de palmiers et de paillotes, qui avant l’attentat était habituellement bondée les weekends, était quasi-déserte samedi à l’exception
de quelques surfeurs dans les rouleaux.
vl/eak/dom
ivoirienne.
Il a déposé une gerbe près de la plage où les assaillants avaient commencé à tirer puis s’est rendu à l’Etoile du Sud, un hôtel ciblé lors de l’attaque.
"Émotion, compassion et détermination sont les trois sentiments qui sont les miens en me recueillant à Grand-Bassam", a-t-il écrit sur le livre d’or de l’hôtel.
"Nous sommes déterminés avec les autorités de Côte d’Ivoire à nous battre ensemble pour nos libertés et contre la barbarie", a ajouté M. Le Drian qui avait annoncé la veille un renforcement des effectifs militaires français en Côte d’Ivoire qui passeront de 600 à 900.
Le 13 mars, trois assaillants avaient remonté la plage de Grand-Bassam, tirant au hasard et attaquant plusieurs restaurants. Ils avaient tué 19 personnes, dont quatre Français, et en avaient blessé une vingtaine d’autres.
L’atttaque a été revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) que l’armée française combat au Sahel dans le cadre de l’opération Barkhane. Deux Maliens soupçonnés d’implication dans l’attentat ont été arrêtés fin mars dans le nord du Mali.
"Ce mal est le même ici qu’au Levant, en France ou en Belgique", a déclaré Jean-Vves Le Drian sur la plage de Grand-Bassam.
La station balnéaire, un lieu de villégiature prisé à une vingtaine de kilomètres de la capitale ivoirienne, accuse encore le coup des attentats.
La plage bordée de palmiers et de paillotes, qui avant l’attentat était habituellement bondée les weekends, était quasi-déserte samedi à l’exception
de quelques surfeurs dans les rouleaux.
vl/eak/dom