L’Union régionale des travailleurs du Centre Nord Bouaké (URTCN-B) et la Centrale syndicale Humanisme de Gbêkê ont plaidé, dimanche, lors de la célébration de la fête du travail à Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan), pour la réouverture « effective » des entreprises encore fermées du fait de la crise militaro-politique qui a secoué les régions Centre-Nord-Ouest (CNO) de la Côte d’Ivoire de 2002 à 2011.
«Les travailleuses et travailleurs de Bouaké et banlieue, réunis à la Bourse du travail de Bouaké (…) demandent au chef de l'Etat (…) d'user de son pouvoir aux fins de la réouverture effective des entreprises encore fermées ou partiellement fermées, du fait des évènements du 19 septembre 2002 jusqu'à ce jour » a déclaré le Secrétaire général de l'URTCN-B, Anderson Kouassi Konan.
Il s'exprimait en présence du préfet de région de Bouaké, Konin Aka, du maire de la ville, Nicolas Youssouf Djibo, du patronat et des travailleurs de Bouaké.
Pour lui, il ne faut pas oublier non plus les entreprises qui « battent de l'aile » en ce moment, à savoir l'usine textile Gonfreville, Olhéol industrie (ex-Trituraf), la plantation de Toungbokro, le Ranch de la Marahoué, Santos devenu Ackees-CI de Katiola…etc.
CK/ls/APA
«Les travailleuses et travailleurs de Bouaké et banlieue, réunis à la Bourse du travail de Bouaké (…) demandent au chef de l'Etat (…) d'user de son pouvoir aux fins de la réouverture effective des entreprises encore fermées ou partiellement fermées, du fait des évènements du 19 septembre 2002 jusqu'à ce jour » a déclaré le Secrétaire général de l'URTCN-B, Anderson Kouassi Konan.
Il s'exprimait en présence du préfet de région de Bouaké, Konin Aka, du maire de la ville, Nicolas Youssouf Djibo, du patronat et des travailleurs de Bouaké.
Pour lui, il ne faut pas oublier non plus les entreprises qui « battent de l'aile » en ce moment, à savoir l'usine textile Gonfreville, Olhéol industrie (ex-Trituraf), la plantation de Toungbokro, le Ranch de la Marahoué, Santos devenu Ackees-CI de Katiola…etc.
CK/ls/APA