La branche du secteur privé de la Banque mondiale a annoncé mercredi son intention d’augmenter le niveau de ses investissements en Afrique afin de promouvoir l’esprit d’entreprise.
Le Directeur régional de la Société financière internationale (SFI) pour l’Afrique orientale et australe Cheikh Oumar Seydi a déclaré à Xinhua à Nairobi que la SFI est limitée par le nombre de possibilités qui sont disponibles en Afrique.
"Donc, si nous trouvons un projet viable en Afrique, nous allons le financer parce que nous croyons que notre mission est très pertinent en Afrique. L’Afrique a des besoins énormes", a affirmé M. Seydi en marge de la Conférence sur l’Initiative de la facilité de faire des affaires.
"Si nous ne trouvons pas de succès en Afrique, alors nous ne pouvons pas prétendre à aucun succès ailleurs", a souligné M. Seydi. Le portefeuille de l’investissement total de la SFI en prêts et équité en Afrique sub-saharienne est estimé à cinq milliards de dollars, une hausse de 200 millions de dollars il y a 12 ans.
Le directeur a fait savoir que les investissements à long terme s’élèvent à environ trois milliards de dollars américains, alors que le financement à court terme se situe à deux milliards de dollars.
L’institution financière détient des participations dans un large éventail de secteurs, y compris l’infrastructure, l’agro-industrie et des services financiers.
M. Seydi a ajouté que les investissements de la SFI en capitaux propres en Afrique sub-saharienne à un moment donné sont compris entre 15 et 20% de son portefeuille total.
"Nous voulons augmenter le chiffre parce que l’équité est essentielle pour assurer la promotion de l’esprit d’entreprise", a-t-il affirmé.
Le directeur a ajouté que la SFI est un investisseur à long terme par défaut et donc l’organisation fait normalement des participations dans des sociétés, quitte lors qu’elle estime que sa mission est terminée.
"Dans la plupart des cas, la période d’investissement se situe entre six à sept ans", a précisé M. Seydi.
Le Directeur régional de la Société financière internationale (SFI) pour l’Afrique orientale et australe Cheikh Oumar Seydi a déclaré à Xinhua à Nairobi que la SFI est limitée par le nombre de possibilités qui sont disponibles en Afrique.
"Donc, si nous trouvons un projet viable en Afrique, nous allons le financer parce que nous croyons que notre mission est très pertinent en Afrique. L’Afrique a des besoins énormes", a affirmé M. Seydi en marge de la Conférence sur l’Initiative de la facilité de faire des affaires.
"Si nous ne trouvons pas de succès en Afrique, alors nous ne pouvons pas prétendre à aucun succès ailleurs", a souligné M. Seydi. Le portefeuille de l’investissement total de la SFI en prêts et équité en Afrique sub-saharienne est estimé à cinq milliards de dollars, une hausse de 200 millions de dollars il y a 12 ans.
Le directeur a fait savoir que les investissements à long terme s’élèvent à environ trois milliards de dollars américains, alors que le financement à court terme se situe à deux milliards de dollars.
L’institution financière détient des participations dans un large éventail de secteurs, y compris l’infrastructure, l’agro-industrie et des services financiers.
M. Seydi a ajouté que les investissements de la SFI en capitaux propres en Afrique sub-saharienne à un moment donné sont compris entre 15 et 20% de son portefeuille total.
"Nous voulons augmenter le chiffre parce que l’équité est essentielle pour assurer la promotion de l’esprit d’entreprise", a-t-il affirmé.
Le directeur a ajouté que la SFI est un investisseur à long terme par défaut et donc l’organisation fait normalement des participations dans des sociétés, quitte lors qu’elle estime que sa mission est terminée.
"Dans la plupart des cas, la période d’investissement se situe entre six à sept ans", a précisé M. Seydi.