Le soldat des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) blessé mardi par des tirs des militaires maliens a été "touché à la cheville droite et évacué dans un centre hospitalier d’Odiénné", ville située à 867 km d’Abidjan, indique une note de l’Etat-Major ivoirien parvenu vendredi à ALERTE INFO.
Mardi, la hiérarchie militaire ivoirienne a dépêché deux de leurs soldats pour s’assurer de la présence des autorités maliennes à Ouélli en vue de la libération des éléments des FRCI interpellé deux jours avant à la frontière avec la Côte d’Ivoire, explique le communiqué.
Les deux éléments à "moto ont essuyé un tir isolé au calibre 12" de l’armée malienne à l’entrée de la localité de Ouelli, selon l’Etat-major.
L’un des soldats a été "touché à la cheville et évacué au Centre hospitalier régional (CHR) d’Odiénné" (Nord-Ouest ivoirien).
Les trois militaires ont été interpellés dans la localité de Ouelli pour avoir franchi la frontière malienne, proche de la ville de Fakola (300 km au sud de Bamako)
Le communiqué de L’Etat-major ivoirien rappelle que "tels incidents se produisent régulièrement dans la zone en raison de la non matérialisation du tracé de la frontière".
Les trois soldats ivoiriens détenus pendant 48 heures avaient été finalement libérés mardi dans l’après-midi.
LIB
Mardi, la hiérarchie militaire ivoirienne a dépêché deux de leurs soldats pour s’assurer de la présence des autorités maliennes à Ouélli en vue de la libération des éléments des FRCI interpellé deux jours avant à la frontière avec la Côte d’Ivoire, explique le communiqué.
Les deux éléments à "moto ont essuyé un tir isolé au calibre 12" de l’armée malienne à l’entrée de la localité de Ouelli, selon l’Etat-major.
L’un des soldats a été "touché à la cheville et évacué au Centre hospitalier régional (CHR) d’Odiénné" (Nord-Ouest ivoirien).
Les trois militaires ont été interpellés dans la localité de Ouelli pour avoir franchi la frontière malienne, proche de la ville de Fakola (300 km au sud de Bamako)
Le communiqué de L’Etat-major ivoirien rappelle que "tels incidents se produisent régulièrement dans la zone en raison de la non matérialisation du tracé de la frontière".
Les trois soldats ivoiriens détenus pendant 48 heures avaient été finalement libérés mardi dans l’après-midi.
LIB