Dans un communiqué rendu public récemment, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a fait part de sa décision d’introduire dès la Session 2016, des reformes dans l’organisation du BTS, afin dit-il de restaurer la crédibilité dudit diplôme et d’assurer aux diplômés, compétitivité et meilleur insertion dans le monde du travail.
La Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) tient à saluer l’opportunité d’une telle décision.
Cependant, elle voudrait exprimer toutes ses réserves au regard des risques et conséquences qu’une précipitation ou une mauvaise préparation de cette décision, si noble soit-elle pourrait causer au bon déroulement des examens et à la proclamation de leurs résultats.
Consciente de ce que les victimes en premier de tout dysfonctionnement organisationnel à un tel niveau ne peuvent qu’être les étudiants candidats, la FESCI voudrait inviter la tutelle à prendre toutes les dispositions utiles afin qu’une telle décision si généreuse dans sa conception ne créée dans son application plus de pagaille qu’elle n’en résout.
Par ailleurs, la FESCI voudrait aussi rappeler au Gouvernement de Côte d’Ivoire et à toute l’opinion nationale, toujours au sujet des Grandes Ecoles, que l’application effective du décret portant homologation des frais d’inscription qui fixent à 40 milles au profit des étudiants affectés par l’Etat dans les Grandes Ecoles se fait toujours attendre.
Elle en appelle par conséquent le Gouvernement à plus d’ingéniosité et de fermeté vis-à-vis des Etablissements encore rebelles, afin d’éviter pour les années académiques à venir des situations préjudiciables aux étudiants.
Fait à Abidjan le 12 Mai 2016
ASSI ASSI FULGENCE
Secrétaire Général National de la FESCI
La Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) tient à saluer l’opportunité d’une telle décision.
Cependant, elle voudrait exprimer toutes ses réserves au regard des risques et conséquences qu’une précipitation ou une mauvaise préparation de cette décision, si noble soit-elle pourrait causer au bon déroulement des examens et à la proclamation de leurs résultats.
Consciente de ce que les victimes en premier de tout dysfonctionnement organisationnel à un tel niveau ne peuvent qu’être les étudiants candidats, la FESCI voudrait inviter la tutelle à prendre toutes les dispositions utiles afin qu’une telle décision si généreuse dans sa conception ne créée dans son application plus de pagaille qu’elle n’en résout.
Par ailleurs, la FESCI voudrait aussi rappeler au Gouvernement de Côte d’Ivoire et à toute l’opinion nationale, toujours au sujet des Grandes Ecoles, que l’application effective du décret portant homologation des frais d’inscription qui fixent à 40 milles au profit des étudiants affectés par l’Etat dans les Grandes Ecoles se fait toujours attendre.
Elle en appelle par conséquent le Gouvernement à plus d’ingéniosité et de fermeté vis-à-vis des Etablissements encore rebelles, afin d’éviter pour les années académiques à venir des situations préjudiciables aux étudiants.
Fait à Abidjan le 12 Mai 2016
ASSI ASSI FULGENCE
Secrétaire Général National de la FESCI
