Abidjan – Des chefs de projets et programmes bénéficiant de l’appui de la Banque mondiale se forment sur les outils de gestion des risques écologiques, humains et économiques dans la mise en œuvre d’un projet ou un programme financé par la Banque.
Ouvert mardi, cet atelier sur les politiques et instruments de sauvegarde environnementale et de développement social, des instruments de la Banque mondiale, se tient sur quatre jours au bureau de l’institution à Abidjan. Il regroupe des coordonnateurs de projets et programmes, des spécialistes en sauvegarde environnementale et développement social, des spécialistes en passation de marché et des spécialistes en suivi-évaluation.
Pour le directeur des opérateurs de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, le but de la Banque dans le développement des projets est de « minimiser » leurs impacts négatifs sur les composantes de l’environnement et les communautés. Les instruments de la Banque mondiale sont des « garde-fous destinés à rendre les projets et programmes viables sur le plan environnemental et socialement acceptable », a-t-il renchéri dans une vidéo préenregistrée pour la circonstance.
« Nous pensons qu’un projet qui doit se réaliser doit avant tout apporter un bien-être aux populations. Il ne faudrait pas qu’à travers la réalisation d’un projet, on puisse avoir plus de pauvres, on puisse avoir plus de malheureux, on puisse désorganiser la structure sociale, on puisse dégrader l’environnement », a ajouté le spécialiste principal en environnement de la Banque, Abdoulaye Gadieré, assurant que 80 et 90% des projets bénéficient d’études d’impact, environnemental, social et économique.
« Toutes les politiques de sauvegarde et sociale concourent à la préservation de l’environnement, au développement durable et surtout au bien-être des populations pour lesquelles ces projets sont mis en œuvre », a-t-il indiqué.
kkf/cmas
Ouvert mardi, cet atelier sur les politiques et instruments de sauvegarde environnementale et de développement social, des instruments de la Banque mondiale, se tient sur quatre jours au bureau de l’institution à Abidjan. Il regroupe des coordonnateurs de projets et programmes, des spécialistes en sauvegarde environnementale et développement social, des spécialistes en passation de marché et des spécialistes en suivi-évaluation.
Pour le directeur des opérateurs de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Pierre Laporte, le but de la Banque dans le développement des projets est de « minimiser » leurs impacts négatifs sur les composantes de l’environnement et les communautés. Les instruments de la Banque mondiale sont des « garde-fous destinés à rendre les projets et programmes viables sur le plan environnemental et socialement acceptable », a-t-il renchéri dans une vidéo préenregistrée pour la circonstance.
« Nous pensons qu’un projet qui doit se réaliser doit avant tout apporter un bien-être aux populations. Il ne faudrait pas qu’à travers la réalisation d’un projet, on puisse avoir plus de pauvres, on puisse avoir plus de malheureux, on puisse désorganiser la structure sociale, on puisse dégrader l’environnement », a ajouté le spécialiste principal en environnement de la Banque, Abdoulaye Gadieré, assurant que 80 et 90% des projets bénéficient d’études d’impact, environnemental, social et économique.
« Toutes les politiques de sauvegarde et sociale concourent à la préservation de l’environnement, au développement durable et surtout au bien-être des populations pour lesquelles ces projets sont mis en œuvre », a-t-il indiqué.
kkf/cmas