L’Institut des civilisations noires (Icn) a organisé une conférence de presse le samedi 21 mai 2016 à son siège au Plateau-Dokui. Objectif de cette rencontre, annoncer le Concours international d’essai littéraire (Cide).
Seydinan Chérif Ahmed, directeur de l’Icn et conférencier du jour a justifié le lancement de ce concours par sa volonté de sortir la Côte d’Ivoire en particulier et l’Afrique en général, de sa situation des théories propres, originales et nées de l’Afrique. « Aucune théorie extérieure à l’Afrique ne pourra l’aider à se développer. Si l’Afrique veut se développer, elle doit créer elle-même des théories adaptées à ses réalités », a-t-il expliqué. Poursuivant, il a précisé les critères dont l’originalité des textes, la pertinence et la faisabilité des solutions proposées, les manuscrits doivent être compris entre 60 et 100 pages et les objectifs de ce concours. Selon lui, l’objectif est d’amener la jeunesse en général et la jeunesse africaine en particulier à s’intéresser aux problèmes de développement du continent, encourager toutes les intelligences à œuvrer pour le développement de l’Afrique et créer une base de données de théoriciens de développement. Soilé Cheick Amidou, professeur de langue, par ailleurs président du comité de lecture du concours et co-conférencier a ajouté que le concours est ouvert à toute personne âgée de 18 à 45 ans et à toutes les nationalités. « Les thèmes retenus pour cette édition du concours sont la politique, l’économie, la culture et le social. La date-limite de dépôts des manuscrits est fixée au 30 août 2016 », a précisé Soilé Cheick. Notons que plusieurs prix seront attribués aux lauréats dont l’édition et la publication des cinq meilleurs manuscrits, une série de conférence pour les auteurs et des enveloppes.
ROK
Seydinan Chérif Ahmed, directeur de l’Icn et conférencier du jour a justifié le lancement de ce concours par sa volonté de sortir la Côte d’Ivoire en particulier et l’Afrique en général, de sa situation des théories propres, originales et nées de l’Afrique. « Aucune théorie extérieure à l’Afrique ne pourra l’aider à se développer. Si l’Afrique veut se développer, elle doit créer elle-même des théories adaptées à ses réalités », a-t-il expliqué. Poursuivant, il a précisé les critères dont l’originalité des textes, la pertinence et la faisabilité des solutions proposées, les manuscrits doivent être compris entre 60 et 100 pages et les objectifs de ce concours. Selon lui, l’objectif est d’amener la jeunesse en général et la jeunesse africaine en particulier à s’intéresser aux problèmes de développement du continent, encourager toutes les intelligences à œuvrer pour le développement de l’Afrique et créer une base de données de théoriciens de développement. Soilé Cheick Amidou, professeur de langue, par ailleurs président du comité de lecture du concours et co-conférencier a ajouté que le concours est ouvert à toute personne âgée de 18 à 45 ans et à toutes les nationalités. « Les thèmes retenus pour cette édition du concours sont la politique, l’économie, la culture et le social. La date-limite de dépôts des manuscrits est fixée au 30 août 2016 », a précisé Soilé Cheick. Notons que plusieurs prix seront attribués aux lauréats dont l’édition et la publication des cinq meilleurs manuscrits, une série de conférence pour les auteurs et des enveloppes.
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