Abidjan - Les droits des personnes vivant avec le VIH ont été au centre d’un entretien entre la ministre ivoirienne des Droits de l’homme et des Libertés publiques et une délégation de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) de l’Union africaine, lundi à Abidjan.
Selon la ministre Paulette Badjo, la vice-présidente de la CADHP est venue s’enquérir de la question de la prise en charge et du respect des droits des personnes vivant avec le VIH en Côte d’Ivoire.
« Nous enregistrons la présence sur le territoire de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples au travers de sa vice-présidente qui est venue pour dire un peu les attentes du comité mis en place au sein de ladite Commission qui concerne les questions sur le VIH/Sida.Ils nous ont fait part des préoccupations qui sont les leurs, surtout que dans deux semaines, ils se retrouveront à New-York par rapport à cette question où des attentes sont nombreuses », a déclaré Mme Badjo au terme de cet entretien à son cabinet à Abidjan-Plateau, ajoutant que les acteurs attendent une forte avancée sur le traitement des personnes en proie à cette pandémie.
Selon la ministre des Droits de l’homme et des Libertés publiques, la Côte d’Ivoire enregistre des avancées sur la question du Sida, à travers des lois qui sont en attente d’application, des projets de décrets, rappelant que la Première dame de Côte d’Ivoire, nommée récemment ambassadrice auprès des Nations Unies, œuvre également pour un meilleur traitement des questions relatives à cette pandémie.
Pour sa part, la vice-présidente de la CADHP, Soyata Maïga, a souligné que l’objectif de sa mission qui va s’étendre jusqu’à samedi, est de s’informer de la situation des personnes vivant avec le VIH et des personnes à risques, faire l’état des lieux, identifier les avancées réalisées ainsi que les obstacles qui entravent l’exercice et la pleine mesure de leurs droits.
Il sera aussi question d’évaluer l’impact du VIH/Sida dans le pays et de s’informer auprès des autorités et autres parties prenantes de la lutte contre la pandémie des mesures législatives, politiques et autres mises en place, en matière de prévention, de traitement, de soin et de soutien pour les personnes sus-indiquées.
(AIP)
Amak/kp
Selon la ministre Paulette Badjo, la vice-présidente de la CADHP est venue s’enquérir de la question de la prise en charge et du respect des droits des personnes vivant avec le VIH en Côte d’Ivoire.
« Nous enregistrons la présence sur le territoire de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples au travers de sa vice-présidente qui est venue pour dire un peu les attentes du comité mis en place au sein de ladite Commission qui concerne les questions sur le VIH/Sida.Ils nous ont fait part des préoccupations qui sont les leurs, surtout que dans deux semaines, ils se retrouveront à New-York par rapport à cette question où des attentes sont nombreuses », a déclaré Mme Badjo au terme de cet entretien à son cabinet à Abidjan-Plateau, ajoutant que les acteurs attendent une forte avancée sur le traitement des personnes en proie à cette pandémie.
Selon la ministre des Droits de l’homme et des Libertés publiques, la Côte d’Ivoire enregistre des avancées sur la question du Sida, à travers des lois qui sont en attente d’application, des projets de décrets, rappelant que la Première dame de Côte d’Ivoire, nommée récemment ambassadrice auprès des Nations Unies, œuvre également pour un meilleur traitement des questions relatives à cette pandémie.
Pour sa part, la vice-présidente de la CADHP, Soyata Maïga, a souligné que l’objectif de sa mission qui va s’étendre jusqu’à samedi, est de s’informer de la situation des personnes vivant avec le VIH et des personnes à risques, faire l’état des lieux, identifier les avancées réalisées ainsi que les obstacles qui entravent l’exercice et la pleine mesure de leurs droits.
Il sera aussi question d’évaluer l’impact du VIH/Sida dans le pays et de s’informer auprès des autorités et autres parties prenantes de la lutte contre la pandémie des mesures législatives, politiques et autres mises en place, en matière de prévention, de traitement, de soin et de soutien pour les personnes sus-indiquées.
(AIP)
Amak/kp