Korhogo – Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a exprimé jeudi, sa volonté d’accroître les exportations et la compétitivité de la mangue fraîche et transformée de Côte d’Ivoire, lors du premier symposium sur ce troisième fruit d’exportation après la banane et l’ananas.
« Cette rencontre s’inscrit parfaitement dans la vision de notre pays pour le secteur agricole. Le défi de la diversification du marché de nos produits agricoles et ceux de la transformation sont ce qui constituent l’épine dorsale de la deuxième phase de Programme national d’investissement agricole (PNIA) deuxième génération », a affirmé le ministre dans son discours d’ouverture de la cérémonie organisée à l’hôtel Olympe de Korhogo.
Pour Sangafowa Coulibaly, une mutualisation des efforts des pays producteurs de mangues de l’Afrique de l’Ouest, une diversification des partenaires commerciaux et une accélération des capacités de transformation de la mangue sont des défis à relever pour une croissance de cette filière.
Cette dynamique doit permettre aux producteurs de mangues de se conformer aux normes internationales et d’utiliser de meilleures techniques et pratiques dans la gestion des vergers, a estimé le chargé d’affaires de l’ambassade américaine en Côte d’Ivoire, Andrew Haviland, au nom du gouvernement américain. Il a souhaité un renforcement des échanges commerciaux en la matière entre l’Afrique de l’Ouest et son pays.
Les revenus annuels substantiels générés par le commerce de la mangue par les 5 000 producteurs recensés s’élèvent à sept milliards de francs CFA pour une capacité annuelle de production de 120 000 tonnes. La Côte d’Ivoire est le deuxième pays producteur de mangues en Afrique de l’Ouest.
Ce symposium est organisé par l’Agence américaine pour le developement international (USAID), à travers son projet d’assistance technique et de conseil financier aux producteurs dénommé West Africa Trade and Investment hub de l’USAID, en partenariat avec le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI).
(AIP)
nmfa/akn/cmas
« Cette rencontre s’inscrit parfaitement dans la vision de notre pays pour le secteur agricole. Le défi de la diversification du marché de nos produits agricoles et ceux de la transformation sont ce qui constituent l’épine dorsale de la deuxième phase de Programme national d’investissement agricole (PNIA) deuxième génération », a affirmé le ministre dans son discours d’ouverture de la cérémonie organisée à l’hôtel Olympe de Korhogo.
Pour Sangafowa Coulibaly, une mutualisation des efforts des pays producteurs de mangues de l’Afrique de l’Ouest, une diversification des partenaires commerciaux et une accélération des capacités de transformation de la mangue sont des défis à relever pour une croissance de cette filière.
Cette dynamique doit permettre aux producteurs de mangues de se conformer aux normes internationales et d’utiliser de meilleures techniques et pratiques dans la gestion des vergers, a estimé le chargé d’affaires de l’ambassade américaine en Côte d’Ivoire, Andrew Haviland, au nom du gouvernement américain. Il a souhaité un renforcement des échanges commerciaux en la matière entre l’Afrique de l’Ouest et son pays.
Les revenus annuels substantiels générés par le commerce de la mangue par les 5 000 producteurs recensés s’élèvent à sept milliards de francs CFA pour une capacité annuelle de production de 120 000 tonnes. La Côte d’Ivoire est le deuxième pays producteur de mangues en Afrique de l’Ouest.
Ce symposium est organisé par l’Agence américaine pour le developement international (USAID), à travers son projet d’assistance technique et de conseil financier aux producteurs dénommé West Africa Trade and Investment hub de l’USAID, en partenariat avec le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI).
(AIP)
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