La représentante spéciale de la présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), Mme Joséphine Charlotte Mayuma Kala, estime que les droits de l’homme restent un défi pour tous les Africains en dépit de leurs aspirations à la démocratie, de l’Etat de droit et au respect total des droits humains et des peuples.
S’exprimant, mercredi à Abidjan, à l’ouverture de la table-ronde organisée à l’occasion de la « Journée de l’Afrique » pour la célébration 53ème anniversaire de la fondation de l’UA ce 25 mai, Mme Kala a indiqué que ces aspirations des Africains sont traduites par le thème choisi cette année par l’UA à savoir « Année de droits de l’homme en Afrique avec un accent particulier sur les droits des femmes ».
« Oui, la bonne gouvernance et la démocratie inclusive sont importantes, mais les droits de l’homme vont au-delà de ces principes fondamentaux », a-t-elle relevé, expliquant que les droits de l’homme impliquent un investissement dans le capital humain de l’Afrique estimé à près d’un milliard dont la moitié est jeune et les femmes en constituent la majorité.
Ce qui induit, selon elle, des investissements à leur profit, dans l’éducation, la santé, les services sociaux de base et les infrastructures. « Les droits de l’homme représentent, en effet, le juste équilibre entre les aspirations civiques et socio-économiques qui nous offriront un continent paisible dont le développement est axé sur ses populations, un continent qui joue un rôle dynamique sur l’échiquier international », a commenté Mme Kala.
kkf/cmas
S’exprimant, mercredi à Abidjan, à l’ouverture de la table-ronde organisée à l’occasion de la « Journée de l’Afrique » pour la célébration 53ème anniversaire de la fondation de l’UA ce 25 mai, Mme Kala a indiqué que ces aspirations des Africains sont traduites par le thème choisi cette année par l’UA à savoir « Année de droits de l’homme en Afrique avec un accent particulier sur les droits des femmes ».
« Oui, la bonne gouvernance et la démocratie inclusive sont importantes, mais les droits de l’homme vont au-delà de ces principes fondamentaux », a-t-elle relevé, expliquant que les droits de l’homme impliquent un investissement dans le capital humain de l’Afrique estimé à près d’un milliard dont la moitié est jeune et les femmes en constituent la majorité.
Ce qui induit, selon elle, des investissements à leur profit, dans l’éducation, la santé, les services sociaux de base et les infrastructures. « Les droits de l’homme représentent, en effet, le juste équilibre entre les aspirations civiques et socio-économiques qui nous offriront un continent paisible dont le développement est axé sur ses populations, un continent qui joue un rôle dynamique sur l’échiquier international », a commenté Mme Kala.
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