Bouaflé – La déléguée régionale des plateformes des réseaux et faîtières de lutte contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme, Oula Yvette, a été investie vendredi à Bouaflé lors d’une cérémonie, en présence des autorités sanitaires et administratives locales.
La nouvelle déléguée en charge des régions de la Marahoué, du Gôh et du Loh-Djiboua a pour mission de mettre à exécution un projet pilote financé par le Fonds mondial de lutte contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme avec l’appui technique de l’Alliance Côte d’Ivoire.
Selon la secrétaire permanente de la plateforme des réseaux et faîtières, Yao Irène, le projet qui durera six mois vise à influencer les politiques à travers un plaidoyer relatif au difficile accès au service de prévention et de prise en charge des centres de santé. Notamment le dysfonctionnement dans l’approvisionnement des sites en médicaments et intrants liés à ces trois pandémies.
Autre constat ayant milité en faveur de la validation du projet, la contrainte dans l’application des normes et des directives nationales en matière de santé dans les différents centres de santé en Côte d’Ivoire.
« Notre déléguée est un acteur de la société civile qui ne vient pas contrôler la région sanitaire mais travaillera en symbiose, selon les normes et les principes établis, sans outrepasser ses prérogatives », a rassuré Mme Yao.
Créée le 23 décembre 2009, la plateforme comporte neuf réseaux et faîtières de lutte contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme et œuvre afin de mieux contribuer à la riposte nationale aux trois pandémies qui constituent un problème de santé de publique.
zaar/cmas
La nouvelle déléguée en charge des régions de la Marahoué, du Gôh et du Loh-Djiboua a pour mission de mettre à exécution un projet pilote financé par le Fonds mondial de lutte contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme avec l’appui technique de l’Alliance Côte d’Ivoire.
Selon la secrétaire permanente de la plateforme des réseaux et faîtières, Yao Irène, le projet qui durera six mois vise à influencer les politiques à travers un plaidoyer relatif au difficile accès au service de prévention et de prise en charge des centres de santé. Notamment le dysfonctionnement dans l’approvisionnement des sites en médicaments et intrants liés à ces trois pandémies.
Autre constat ayant milité en faveur de la validation du projet, la contrainte dans l’application des normes et des directives nationales en matière de santé dans les différents centres de santé en Côte d’Ivoire.
« Notre déléguée est un acteur de la société civile qui ne vient pas contrôler la région sanitaire mais travaillera en symbiose, selon les normes et les principes établis, sans outrepasser ses prérogatives », a rassuré Mme Yao.
Créée le 23 décembre 2009, la plateforme comporte neuf réseaux et faîtières de lutte contre le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme et œuvre afin de mieux contribuer à la riposte nationale aux trois pandémies qui constituent un problème de santé de publique.
zaar/cmas