Yamoussoukro, Le séminaire d’identification des mesures spécifiques de prévention de la corruption et des infractions assimilées en Côte d’Ivoire organisée par la Haute autorité pour la bonne gouvernance a pris fin vendredi à Yamoussoukro avec la principale recommandation relative à la création d’un organe de contrôle du processus d’organisation des concours d’accès à la fonction publique pour s’assurer que les principes de bonne gouvernance sont observés.
Les participants aux séminaires ont préconisé la prise d’un décret d’application du droit à la formation continue qui prescrit l’obligation pour toute administration publique d’élaborer et d’exécuter un programme triennal de formation continue, et souhaité l’achèvement du processus du code de déontologie des agents publics.
Ils ont suggéré que la HABG lève le caractère confidentiel des déclarations de patrimoine, que les institutions de la République mettent à la disposition des médias les documents relatifs à l’information d’intérêt public, et à la dette intérieure et extérieure.
La cinquantaine de participants au séminaire sur la corruption, recommande également l’accroissement des ressources matérielles et financières dédiées à l’éducation, la sensibilisation et la formation des populations sur les dangers de la corruption. L’instauration des plans sectoriels de lutte contre la corruption et les infractions assimilées dans les ministères et les institutions de la République.
« Ces textes s’ils sont adoptés par le gouvernement vont combler la vacuité qui existait dans les ordonnances relatives à la mission de la HABG chargée de veiller à l’application effective des dispositions prévues dans la lutte contre la corruption », a fait remarquer le représentant de la HABG M. Koné Moussa. Il s’est dit satisfait des nouvelles propositions de référence dans lesquelles doivent désormais s’insérer de « façon rationnelle » les initiatives et actions destinées à soutenir la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire.
(AIP)
nam/akn/kam
Les participants aux séminaires ont préconisé la prise d’un décret d’application du droit à la formation continue qui prescrit l’obligation pour toute administration publique d’élaborer et d’exécuter un programme triennal de formation continue, et souhaité l’achèvement du processus du code de déontologie des agents publics.
Ils ont suggéré que la HABG lève le caractère confidentiel des déclarations de patrimoine, que les institutions de la République mettent à la disposition des médias les documents relatifs à l’information d’intérêt public, et à la dette intérieure et extérieure.
La cinquantaine de participants au séminaire sur la corruption, recommande également l’accroissement des ressources matérielles et financières dédiées à l’éducation, la sensibilisation et la formation des populations sur les dangers de la corruption. L’instauration des plans sectoriels de lutte contre la corruption et les infractions assimilées dans les ministères et les institutions de la République.
« Ces textes s’ils sont adoptés par le gouvernement vont combler la vacuité qui existait dans les ordonnances relatives à la mission de la HABG chargée de veiller à l’application effective des dispositions prévues dans la lutte contre la corruption », a fait remarquer le représentant de la HABG M. Koné Moussa. Il s’est dit satisfait des nouvelles propositions de référence dans lesquelles doivent désormais s’insérer de « façon rationnelle » les initiatives et actions destinées à soutenir la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire.
(AIP)
nam/akn/kam