Le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Koné a exprimé vendredi la volonté de la Côte d'Ivoire de dynamiser la lutte contre les violences sexuelles dans le pays en période de crise.
M. Koné qui intervenait à l'issue d'un conseil des ministres a fait état de la création d'un Comité national en charge de mener un combat acharné contre les violences sexuelles liés aux conflits.
"Ce comité est chargé de coordonner au sein des institutions de sécurité nationale, les efforts du gouvernement en vue de la prévention et de la réponse aux violences sexuelles liées aux conflits. Il est également chargé de la lutte contre l'impunité vis-à-vis des crimes de violences sexuelles commis par des hommes en armes", a-t-il expliqué.
De son avis, cela marque un grand pas dans la lutte contre les violences sexuelles.
"La création de cette structure marque l'engagement de notre pays à instaurer une politique de tolérance zéro à l'égard des violences sexuelles même en période de conflit", a-t-il souligné.
Le porte-parole du gouvernement a révélé qu'au lendemain de la crise post-électorale, entre 2011 et 2013, la Côte d'Ivoire a enregistré 548 cas de violences sexuelles liées à la crise.
Lors d'un récent séjour en Côte d'Ivoire, la Représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, Zainab Hawa Bangura, a encouragé les efforts du gouvernement de Côte d'Ivoire dans la prévention et la répression des violences sexuelles.
L'émissaire de l'ONU s'est félicitée des progrès accomplis par le gouvernement ivoirien et en particulier par l'armée nationale dans la lutte contre ce fléau, à travers notamment des "mesures concrètes et opérationnelles" prises pour prévenir et répondre aux crimes de violence sexuelle. Fin
M. Koné qui intervenait à l'issue d'un conseil des ministres a fait état de la création d'un Comité national en charge de mener un combat acharné contre les violences sexuelles liés aux conflits.
"Ce comité est chargé de coordonner au sein des institutions de sécurité nationale, les efforts du gouvernement en vue de la prévention et de la réponse aux violences sexuelles liées aux conflits. Il est également chargé de la lutte contre l'impunité vis-à-vis des crimes de violences sexuelles commis par des hommes en armes", a-t-il expliqué.
De son avis, cela marque un grand pas dans la lutte contre les violences sexuelles.
"La création de cette structure marque l'engagement de notre pays à instaurer une politique de tolérance zéro à l'égard des violences sexuelles même en période de conflit", a-t-il souligné.
Le porte-parole du gouvernement a révélé qu'au lendemain de la crise post-électorale, entre 2011 et 2013, la Côte d'Ivoire a enregistré 548 cas de violences sexuelles liées à la crise.
Lors d'un récent séjour en Côte d'Ivoire, la Représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit, Zainab Hawa Bangura, a encouragé les efforts du gouvernement de Côte d'Ivoire dans la prévention et la répression des violences sexuelles.
L'émissaire de l'ONU s'est félicitée des progrès accomplis par le gouvernement ivoirien et en particulier par l'armée nationale dans la lutte contre ce fléau, à travers notamment des "mesures concrètes et opérationnelles" prises pour prévenir et répondre aux crimes de violence sexuelle. Fin