Le Béninois Marcel Alain De Souza, le nouveau président de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), a officiellement prêté serment ce samedi à Dakar lors de la cérémonie d’ouverture de la 49ème session extraordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO.
Dans son allocution à l’issue de son serment, M. De Souza a affirmé que « la 49ème session de la CEDEAO intervient à « une période critique et charnière de notre organisation qui vient de boucler 41 ans d’existence, le 28 mai 2016 avec des avancées significatives et visibles certes mais également avec des défis multiples et multiformes ».
Selon M. De Souza, la CEDEAO connait de sérieuses difficultés relatives à la non application des dispositions du protocole sur le prélèvement communautaire qui constitue la principale source de financement des activités et programme de l’organisation.
Sur la situation économique de la Région qui est tributaire des ressources issues de l’exportation des matières premières, il estime qu’elle est en ce moment loin d’être reluisante.
« Face à cette situation, j’ai engagé, avec l’adhésion de tous les Commissaires et des Chefs d’institution de la CEDEAO, un plan d’austérité pour le redressement de la trésorerie et la rationalisation des dépenses ».
Selon lui, cette rationalisation prend en compte la maîtrise des charges, l’amélioration de la structure de gouvernance et de gestion et l’amélioration nette et progressive de l’image de marque de la CEDEAO.
MS/od/APA
Dans son allocution à l’issue de son serment, M. De Souza a affirmé que « la 49ème session de la CEDEAO intervient à « une période critique et charnière de notre organisation qui vient de boucler 41 ans d’existence, le 28 mai 2016 avec des avancées significatives et visibles certes mais également avec des défis multiples et multiformes ».
Selon M. De Souza, la CEDEAO connait de sérieuses difficultés relatives à la non application des dispositions du protocole sur le prélèvement communautaire qui constitue la principale source de financement des activités et programme de l’organisation.
Sur la situation économique de la Région qui est tributaire des ressources issues de l’exportation des matières premières, il estime qu’elle est en ce moment loin d’être reluisante.
« Face à cette situation, j’ai engagé, avec l’adhésion de tous les Commissaires et des Chefs d’institution de la CEDEAO, un plan d’austérité pour le redressement de la trésorerie et la rationalisation des dépenses ».
Selon lui, cette rationalisation prend en compte la maîtrise des charges, l’amélioration de la structure de gouvernance et de gestion et l’amélioration nette et progressive de l’image de marque de la CEDEAO.
MS/od/APA