Les premiers sous-officiers féminins de la gendarmerie nationale ont été présentés, lundi, au drapeau national au cours d’une cérémonie à l’école nationale de gendarmerie d’Abidjan en présence du ministre de la défense, Alain Richard Donwahi, a constaté l’Agence de presse Africaine (APA) sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Au nombre de 18, ces filles font parties des 398 élèves stagiaires de la première année (promotion 2015-2017) qui ont achevés la formation commune de base et qui entament le début de la formation professionnelle.
« Elles sont braves et pour l’instant donnent le meilleur d’elles- mêmes», a témoigné le Général de corps d’armée, Gervais Kouakou Kouassi , le Commandant supérieur de la gendarmerie nationale ivoirienne.
A cette occasion, le premier responsable de la gendarmerie a regretté le comportement de certains de ces éléments qui ternissent l’image de ce corps d’élite.
« La gendarmerie nationale, corps d’élite de votre choix possède une devise héritée des ancêtres de la maréchaussée et l’esprit de laquelle ses missions régaliennes sont exécutées -pro patria -pro lege ,- pour la patrie pour la loi- », a-t-il rappelé, expliquant que « ceci démontre notre indéfectible attachement à la partie et notre respect scrupuleux des lois républicaines ».
« Malheureusement, il se trouve encore dans nos rangs quelques brebis égarées qui perdent de vue les lettres de noblesse de notre arme. Soyez rassurez les gendarmes indignes (…) seront ramenés à l’ordre et à défaut être purement et simplement extirpés », a averti le Général Kouassi.
Le ministre auprès du Président de la République chargé de la défense, Alain Richard Donwahi a pour sa part indiqué que le gouvernement ivoirien a pour objectif de doter la Côte d’Ivoire d’une « armée moderne et d’une gendarmerie modèle ».
Il a invité les élèves sous-officiers à être exemplaires durant leur formation et leur carrière.« Où que vous soyez, soyez irréprochables, soyez des modèles », a exhorté le ministre Donwahi.
L’intégration de la gent féminine à la gendarmerie nationale, jusque-là réservée uniquement qu’aux hommes a été effective le 14 octobre dernier avec une première vague de quatre officiers.
SY/ls/APA
Au nombre de 18, ces filles font parties des 398 élèves stagiaires de la première année (promotion 2015-2017) qui ont achevés la formation commune de base et qui entament le début de la formation professionnelle.
« Elles sont braves et pour l’instant donnent le meilleur d’elles- mêmes», a témoigné le Général de corps d’armée, Gervais Kouakou Kouassi , le Commandant supérieur de la gendarmerie nationale ivoirienne.
A cette occasion, le premier responsable de la gendarmerie a regretté le comportement de certains de ces éléments qui ternissent l’image de ce corps d’élite.
« La gendarmerie nationale, corps d’élite de votre choix possède une devise héritée des ancêtres de la maréchaussée et l’esprit de laquelle ses missions régaliennes sont exécutées -pro patria -pro lege ,- pour la patrie pour la loi- », a-t-il rappelé, expliquant que « ceci démontre notre indéfectible attachement à la partie et notre respect scrupuleux des lois républicaines ».
« Malheureusement, il se trouve encore dans nos rangs quelques brebis égarées qui perdent de vue les lettres de noblesse de notre arme. Soyez rassurez les gendarmes indignes (…) seront ramenés à l’ordre et à défaut être purement et simplement extirpés », a averti le Général Kouassi.
Le ministre auprès du Président de la République chargé de la défense, Alain Richard Donwahi a pour sa part indiqué que le gouvernement ivoirien a pour objectif de doter la Côte d’Ivoire d’une « armée moderne et d’une gendarmerie modèle ».
Il a invité les élèves sous-officiers à être exemplaires durant leur formation et leur carrière.« Où que vous soyez, soyez irréprochables, soyez des modèles », a exhorté le ministre Donwahi.
L’intégration de la gent féminine à la gendarmerie nationale, jusque-là réservée uniquement qu’aux hommes a été effective le 14 octobre dernier avec une première vague de quatre officiers.
SY/ls/APA