Le centre Areea/Page Blanche a organisé le jeudi 26 mai 2016 une journée de sensibilisation sur les infirmités motrices cérébrales(Imc). L’objectif étant de faire connaitre ce handicap qui est mal connu de tous.
Alioune dansant au son de la musique n’arrête pas de se trémousser bien que la musique s’étant arrêtée malgré l’interpellation de ses éducateurs, ce jeune homme en situation de handicap mental ? reste sourd. Comme lui, ce centre accueille de nombreux enfants souffrant d’un déficit mental. En cette journée de sensibilisation des Imc, ce centre social a voulu donner un sourire à ses enfants mis à l’écart de la société par la maladie. Anne Marie Diem Niacadie, présidente de l’Areea/ Page Blanche a fait savoir que l’infirmité motrice cérébrale est la première cause d’handicap psychomoteur de l’enfance. Cette infirmité résulte des lésions survenues sur le cerveau lors du développement du fœtus ou du nourrisson. Elle se manifeste par des troubles moteurs souvent accompagnés de troubles sensoriels, perceptifs (vision, ouïe), d’une épilepsie. Car, des régions du cerveau dédiées par exemple au langage ou à la motricité, peuvent être irrémédiablement détruites. Certaines Imc pourront marcher seuls sans aide technique, d’autres avec une aide technique, tandis que certains n’acquerront jamais la marche. Mme Niacadie a déplorée le fait que les personnes souffrant des Imc sont confrontées aux regards des autres, voire rejetées. C’est pourquoi, la présidente plaide pour que l’Imc bénéficie d’une journée nationale, afin que la population ivoirienne connaisse mieux cette infirmité et apporte son soutien à ces enfants qui ont besoin d’un peu d’amour et de considération.
Depuis 2015, l’Etat de Côte d’Ivoire a octroyé au centre, un terrain de 4280m2, avec l’aide de tous, la présidente envisage la construction d’un complexe medico psychopédagogique et professionnel qui va accueillir 150 enfants.
MK.
Alioune dansant au son de la musique n’arrête pas de se trémousser bien que la musique s’étant arrêtée malgré l’interpellation de ses éducateurs, ce jeune homme en situation de handicap mental ? reste sourd. Comme lui, ce centre accueille de nombreux enfants souffrant d’un déficit mental. En cette journée de sensibilisation des Imc, ce centre social a voulu donner un sourire à ses enfants mis à l’écart de la société par la maladie. Anne Marie Diem Niacadie, présidente de l’Areea/ Page Blanche a fait savoir que l’infirmité motrice cérébrale est la première cause d’handicap psychomoteur de l’enfance. Cette infirmité résulte des lésions survenues sur le cerveau lors du développement du fœtus ou du nourrisson. Elle se manifeste par des troubles moteurs souvent accompagnés de troubles sensoriels, perceptifs (vision, ouïe), d’une épilepsie. Car, des régions du cerveau dédiées par exemple au langage ou à la motricité, peuvent être irrémédiablement détruites. Certaines Imc pourront marcher seuls sans aide technique, d’autres avec une aide technique, tandis que certains n’acquerront jamais la marche. Mme Niacadie a déplorée le fait que les personnes souffrant des Imc sont confrontées aux regards des autres, voire rejetées. C’est pourquoi, la présidente plaide pour que l’Imc bénéficie d’une journée nationale, afin que la population ivoirienne connaisse mieux cette infirmité et apporte son soutien à ces enfants qui ont besoin d’un peu d’amour et de considération.
Depuis 2015, l’Etat de Côte d’Ivoire a octroyé au centre, un terrain de 4280m2, avec l’aide de tous, la présidente envisage la construction d’un complexe medico psychopédagogique et professionnel qui va accueillir 150 enfants.
MK.
