Mme KABA Nialé, Ministre du Plan et du Développement a pris part, ce jeudi 09 juin 2016, à l’Eden Golf Hôtel d’Abidjan, au 2ème Forum sur les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) dans l’éducation et la formation. Mme la Ministre a spécifiquement planché sur la problématique des « TIC et l’éducation dans les zones et les régions confrontées à des crises et conflits : le cas de la Côte d’Ivoire ». Selon la panéliste, l’éducation est reconnue comme un droit universel pour tout individu et comme un élément essentiel du développement économique et social des nations et constitue de ce fait, une priorité tant au niveau national qu’international. C’est pourquoi, a-t-elle mentionné, toutes les politiques et stratégies élaborées, au niveau international notamment l’Agenda 2030 et l’Afrique 2063, doivent viser une meilleure prise en compte des enjeux de qualité et d’équité de l’éducation.
Quant aux conséquences des conflits, sur le système éducatif, elle a indiqué que l’atteinte des objectifs ci-dessus mentionnés, pourrait être remise en cause par les conflits armés et les instabilités politiques sur le continent et plus particulièrement en Côte d’Ivoire, si des mesures vigoureuses ne sont pas prises. En effet, si le retour à la paix et à la sécurité et l’implication des partenaires, notamment le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), ont permis un regain de confiance des réfugiés, qui se matérialise par un retour volontaire de ceux-ci, un grand nombre d’entre eux vit encore dans des camps avec des conditions moins propices à une éducation de qualité. Aux dires de Mme KABA, « pour tirer parti du potentiel des TIC dans les régions ou les pays confrontés à des crises et conflits, comme le nôtre, afin d’atteindre l’objectif d’une éducation inclusive, de qualité et équitable ainsi qu’un apprentissage tout au long de la vie pour tous, il faudrait que tous les programmes d’enseignement en Côte d’Ivoire soient disponibles en ligne. C’est à ce prix que tous les élèves y compris ceux qui vivent dans les camps de réfugiés, pourrait y avoir accès à tout moment et à moindre coût ». Mme la Ministre a conclu ses propos par des perspectives contenues dans le PND 2016-2020, notamment : le projet d’extension du réseau fibre optique qui devrait passer de 2000 km aujourd’hui à 7000 km en 2020; le projet « un citoyen, un ordinateur + une connexion internet » qui devra permettre en 5 ans à 500 000 familles de disposer d’un micro-ordinateur avec une connexion internet ; le projet e-éducation et bien d’autres, dont la mise en œuvre aiderait à améliorer la qualité de l’éducation, pour l’atteinte des objectif d’émergence du pays à l’horizon 2020.
Quant aux conséquences des conflits, sur le système éducatif, elle a indiqué que l’atteinte des objectifs ci-dessus mentionnés, pourrait être remise en cause par les conflits armés et les instabilités politiques sur le continent et plus particulièrement en Côte d’Ivoire, si des mesures vigoureuses ne sont pas prises. En effet, si le retour à la paix et à la sécurité et l’implication des partenaires, notamment le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), ont permis un regain de confiance des réfugiés, qui se matérialise par un retour volontaire de ceux-ci, un grand nombre d’entre eux vit encore dans des camps avec des conditions moins propices à une éducation de qualité. Aux dires de Mme KABA, « pour tirer parti du potentiel des TIC dans les régions ou les pays confrontés à des crises et conflits, comme le nôtre, afin d’atteindre l’objectif d’une éducation inclusive, de qualité et équitable ainsi qu’un apprentissage tout au long de la vie pour tous, il faudrait que tous les programmes d’enseignement en Côte d’Ivoire soient disponibles en ligne. C’est à ce prix que tous les élèves y compris ceux qui vivent dans les camps de réfugiés, pourrait y avoir accès à tout moment et à moindre coût ». Mme la Ministre a conclu ses propos par des perspectives contenues dans le PND 2016-2020, notamment : le projet d’extension du réseau fibre optique qui devrait passer de 2000 km aujourd’hui à 7000 km en 2020; le projet « un citoyen, un ordinateur + une connexion internet » qui devra permettre en 5 ans à 500 000 familles de disposer d’un micro-ordinateur avec une connexion internet ; le projet e-éducation et bien d’autres, dont la mise en œuvre aiderait à améliorer la qualité de l’éducation, pour l’atteinte des objectif d’émergence du pays à l’horizon 2020.