L'étape du plateau de la présélection de la 4ème édition du concours de la beauté féminine ivoirienne dénommé ‘’Awoulaba’’ a connu dans la soirée de samedi à la salle de fête du ministère des affaires étrangères d’Abidjan, son apothéose avec le sacre de mademoiselle Ahoua Beugré Tatiana.
Après les trois tours de défilé des 10 candidates en tenue boubou, maxi et traditionnelle, le jury présidé par madame Hortance Koffi, a porté son choix sur Ahoua Beugré Tatiana, candidate N°10, élue ainsi, comme Awoulaba 2016 de la commune du plateau.
Âgée d'une trentaine d'année, célibataire, mère de deux enfants Tatiana a obtenu 145 points sur 210.
Sa première Saraman (dauphine), Mme Lamah Marie Michelle, candidate N°9. Agée de 30 ans, elle mère de trois enfants. La deuxième Saraman, Aussi Christiane, candidate N°6 est âgée de 29 ans, célibataire et mère d'un enfant est assistante de direction.
En plus des lots des partenaires et des enveloppes du CACI, le maire de la commune du plateau monsieur Noël Akossi Bendjo a offert une somme de 5 millions au comité local. '' À la demande du Maire Bendjo, le conseil municipal a inscrit désormais la somme de 5.000.000 F CFA pour accompagner notre comité local dans l’organisation des présélections du Plateau'' a indiqué M.Thano, représentant le maire.
Cette 3è édition dont le thème a été consacré au ''L'implication de l'homme dans la pratique du planning familial'', a marqué la reprise de ce concours qui célèbre les canons de la beauté africaine. Le Président du Comité Awoulaba de Côte d'Ivoire (CACI), Jonas Lago, a fait à cette occasion, l'historique de cette reprise et sa volonté à conduire assez loin ce concours.
Le concours Awoulaba dans sa conception, prend en compte dans ses fiches de notation, des critères de beauté de trois grands groupes ethniques de Côte d'Ivoire, à savoir : "de belles jambes et une brèche entre les dents pour le peuple Krou (Ouest), "de belles fesses bien harmonisées" chez les Akans (Sud, Centre, Est) et enfin "un cou strié" chez le peuple malinké (Nord).
Awoulaba est une pratique culturelle en pays Akan, qui célèbre la femme plusieurs mois après un accouchement. A cette occasion, l'Awoulaba (la nouvelle mère) qui a été entretenue et engraissée pendant 4 ou 5 mois fait une sortie officielle pour présenter son bébé à la communauté.
DA
Après les trois tours de défilé des 10 candidates en tenue boubou, maxi et traditionnelle, le jury présidé par madame Hortance Koffi, a porté son choix sur Ahoua Beugré Tatiana, candidate N°10, élue ainsi, comme Awoulaba 2016 de la commune du plateau.
Âgée d'une trentaine d'année, célibataire, mère de deux enfants Tatiana a obtenu 145 points sur 210.
Sa première Saraman (dauphine), Mme Lamah Marie Michelle, candidate N°9. Agée de 30 ans, elle mère de trois enfants. La deuxième Saraman, Aussi Christiane, candidate N°6 est âgée de 29 ans, célibataire et mère d'un enfant est assistante de direction.
En plus des lots des partenaires et des enveloppes du CACI, le maire de la commune du plateau monsieur Noël Akossi Bendjo a offert une somme de 5 millions au comité local. '' À la demande du Maire Bendjo, le conseil municipal a inscrit désormais la somme de 5.000.000 F CFA pour accompagner notre comité local dans l’organisation des présélections du Plateau'' a indiqué M.Thano, représentant le maire.
Cette 3è édition dont le thème a été consacré au ''L'implication de l'homme dans la pratique du planning familial'', a marqué la reprise de ce concours qui célèbre les canons de la beauté africaine. Le Président du Comité Awoulaba de Côte d'Ivoire (CACI), Jonas Lago, a fait à cette occasion, l'historique de cette reprise et sa volonté à conduire assez loin ce concours.
Le concours Awoulaba dans sa conception, prend en compte dans ses fiches de notation, des critères de beauté de trois grands groupes ethniques de Côte d'Ivoire, à savoir : "de belles jambes et une brèche entre les dents pour le peuple Krou (Ouest), "de belles fesses bien harmonisées" chez les Akans (Sud, Centre, Est) et enfin "un cou strié" chez le peuple malinké (Nord).
Awoulaba est une pratique culturelle en pays Akan, qui célèbre la femme plusieurs mois après un accouchement. A cette occasion, l'Awoulaba (la nouvelle mère) qui a été entretenue et engraissée pendant 4 ou 5 mois fait une sortie officielle pour présenter son bébé à la communauté.
DA
