Abidjan (Côte d'Ivoire) - Des experts de la santé réunis, à une conférence régionale à Abidjan, ont plaidé, mardi, pour un engagement politique des dirigeants de pays africains pour soutenir l’amélioration de leur environnement afin d’optimiser les investissements dans la chaine d’approvisionnement de la santé et de la vaccination, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Selon Dr Da Sylva de l’Agence de Médecine Préventive (AMP), « le sujet est d’une importance cruciale pour l’amélioration durable des performances de nos prestations de santé pour un meilleur état de santé des populations ».
« Nous sommes ici pour tirer mutuellement partie de nos expériences pratiques mais aussi institutionnelles pour dégager des voies et moyens innovantes, audacieuses mais réalistes et pour formuler des politiques mobilisatrices de partenariats publics, privés et communautaires en faveur des investissements dans le renforcement des systèmes de santé et de vaccination », a précisé Dr Da Sylva.
Pour sa part, Essongue Elouma, de Gavi, « l’alliance du vaccin », a indiqué que les priorités au niveau des structures, « c’est d’accompagner les pays moins développés, dans l’accès équitable à la vaccination de façon pérenne ».
« Sans une chaîne du froid efficace, nous ne pourrons pas atteindre nos objectifs de couverture d’équité et de pérennité », a-t-elle averti tout en soutenant que « personne ne doit être exclu de la santé sous prétexte qu’il n’est pas accessible ».
A en croire, Philipe Jahia du programme technologique et logistique de santé à l’Agence de médecine préventive (AMP) depuis des années grâce aux progrès de la recherche et des mécanismes de financement , les pays ont accès à plus de produits qui permettent de sauver plus de
vies.
« Les infrastructures doivent pouvoir absorber ces nouveaux flux afin de disposition des populations des produits et soins de qualités », a souhaité M. Jahia.
Cette conférence d’Abidjan fait suite à la conférence ministérielle tenue à Addis Abeba (Ethiopie) en février dernier, où les ministres de la santé d’Afrique ont fait une déclaration en faveur de la vaccination et le renforcement du système de santé.
L’optimisation des chaînes logistiques, les équipements de la chaine de froid, les ressources humaines, le financement sont entre autres les grandes thématiques de cette conférence régionale de deux jours avec la participation de 11 pays (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Niger, RDC, Sénégal, Togo).
SY/hs/ls
Selon Dr Da Sylva de l’Agence de Médecine Préventive (AMP), « le sujet est d’une importance cruciale pour l’amélioration durable des performances de nos prestations de santé pour un meilleur état de santé des populations ».
« Nous sommes ici pour tirer mutuellement partie de nos expériences pratiques mais aussi institutionnelles pour dégager des voies et moyens innovantes, audacieuses mais réalistes et pour formuler des politiques mobilisatrices de partenariats publics, privés et communautaires en faveur des investissements dans le renforcement des systèmes de santé et de vaccination », a précisé Dr Da Sylva.
Pour sa part, Essongue Elouma, de Gavi, « l’alliance du vaccin », a indiqué que les priorités au niveau des structures, « c’est d’accompagner les pays moins développés, dans l’accès équitable à la vaccination de façon pérenne ».
« Sans une chaîne du froid efficace, nous ne pourrons pas atteindre nos objectifs de couverture d’équité et de pérennité », a-t-elle averti tout en soutenant que « personne ne doit être exclu de la santé sous prétexte qu’il n’est pas accessible ».
A en croire, Philipe Jahia du programme technologique et logistique de santé à l’Agence de médecine préventive (AMP) depuis des années grâce aux progrès de la recherche et des mécanismes de financement , les pays ont accès à plus de produits qui permettent de sauver plus de
vies.
« Les infrastructures doivent pouvoir absorber ces nouveaux flux afin de disposition des populations des produits et soins de qualités », a souhaité M. Jahia.
Cette conférence d’Abidjan fait suite à la conférence ministérielle tenue à Addis Abeba (Ethiopie) en février dernier, où les ministres de la santé d’Afrique ont fait une déclaration en faveur de la vaccination et le renforcement du système de santé.
L’optimisation des chaînes logistiques, les équipements de la chaine de froid, les ressources humaines, le financement sont entre autres les grandes thématiques de cette conférence régionale de deux jours avec la participation de 11 pays (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Niger, RDC, Sénégal, Togo).
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