Un atelier destiné à trouver une solution face au faible taux de décaissement des projets cofinancés s’est ouvert, mercredi, à Abidjan à l’initiative de la Direction générale du Trésor et de la comptabilité publique.
Organisé par l’Agence Comptable de la dette publique (ACDP) du Trésor autour du thème, «la problématique du faible taux de décaissement des projets cofinancés », cet atelier vise à poser un « diagnostic sans complaisance afin d’explorer les pistes de solution, d’administrer un remède à large spectre à l’effet de faciliter le décaissement des projets et programmes cofinancés ».
Pour les organisateurs, il convient d’améliorer les performances des projets cofinancés pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire, en leur assurant un taux de décaissement adéquat qui se situerait à 80% en moyenne, rapporte une note d’information du Trésor transmis à APA.
A l’ouverture des travaux, Jacques Konan Assahoré, Directeur Général Adjoint du Trésor et de la comptabilité publique a souligné que « ces assises devront formuler des propositions pertinentes dans l’optique d’une amélioration du taux de décaissement, gage du dynamisme de la mise en œuvre des projets de développement ».
« Le Gouvernement ivoirien qui est heureux des performances et du dynamisme de son économie sait pouvoir compter sur vos capacités d’analyse et sur la perspicacité des propositions de solutions qui seront issues de ce séminaire », a indiqué de son côté Antoine Mimba Kocounseu, Conseiller Technique, représentant le Ministre auprès du Premier chargé de l’Economie et des Finances.
Il convient, a poursuivi Antoine Mimba Kocounseu, de faire en sorte que les prêts obtenus par l’Etat de Côte d’Ivoire ne soient nullement perdus, dans la mesure où ils constituent un retour sur investissement nécessaire pour booster la croissance, créer des emplois et assurer le bien-être des populations.
Des résultats intermédiaires sont attendus au terme de cet atelier qui réunit les principaux acteurs de la chaine d’exécution et de décaissement. Ce sont entre autres l’amélioration de la qualité des études de faisabilité des projets, le règlement dans les délais les contreparties ivoiriennes des financements, l’accélération des procédures de passation de marché, le traitement avec célérité des factures ou décomptes de travaux au niveau des unités de gestion des projets.
LS/APA
Organisé par l’Agence Comptable de la dette publique (ACDP) du Trésor autour du thème, «la problématique du faible taux de décaissement des projets cofinancés », cet atelier vise à poser un « diagnostic sans complaisance afin d’explorer les pistes de solution, d’administrer un remède à large spectre à l’effet de faciliter le décaissement des projets et programmes cofinancés ».
Pour les organisateurs, il convient d’améliorer les performances des projets cofinancés pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire, en leur assurant un taux de décaissement adéquat qui se situerait à 80% en moyenne, rapporte une note d’information du Trésor transmis à APA.
A l’ouverture des travaux, Jacques Konan Assahoré, Directeur Général Adjoint du Trésor et de la comptabilité publique a souligné que « ces assises devront formuler des propositions pertinentes dans l’optique d’une amélioration du taux de décaissement, gage du dynamisme de la mise en œuvre des projets de développement ».
« Le Gouvernement ivoirien qui est heureux des performances et du dynamisme de son économie sait pouvoir compter sur vos capacités d’analyse et sur la perspicacité des propositions de solutions qui seront issues de ce séminaire », a indiqué de son côté Antoine Mimba Kocounseu, Conseiller Technique, représentant le Ministre auprès du Premier chargé de l’Economie et des Finances.
Il convient, a poursuivi Antoine Mimba Kocounseu, de faire en sorte que les prêts obtenus par l’Etat de Côte d’Ivoire ne soient nullement perdus, dans la mesure où ils constituent un retour sur investissement nécessaire pour booster la croissance, créer des emplois et assurer le bien-être des populations.
Des résultats intermédiaires sont attendus au terme de cet atelier qui réunit les principaux acteurs de la chaine d’exécution et de décaissement. Ce sont entre autres l’amélioration de la qualité des études de faisabilité des projets, le règlement dans les délais les contreparties ivoiriennes des financements, l’accélération des procédures de passation de marché, le traitement avec célérité des factures ou décomptes de travaux au niveau des unités de gestion des projets.
LS/APA