Des experts en provenance de 28 pays francophones à travers le monde dont 20 d’Afrique sont réunis à Abidjan, depuis mardi, pour une consultation intersectorielle de deux jours sur la problématique de l’adéquation entre l’emploi dans le secteur de la santé et la croissance économique.
Il s’agit d’une part de permettre aux pays participants de contribuer aux discussions mondiales sur l’emploi en santé et la croissance économique et d’autre part de présenter et de discuter des défis de l’investissement dans les ressources humaines des secteurs de la santé et du social dans les pays concernés.
Selon une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), d’ici à 2030, la demande mondiale de soins en santé sera telle qu’il faudra créer plus de 45 millions d’emplois supplémentaires dans la santé, pour les pays à revenu moyen et élevé. Du coup, développer l’emploi dans les secteurs de la santé et le social, n’est plus non seulement un impératif de santé publique internationale mais aussi une opportunité pour favoriser une croissance économique inclusive et la création d’emplois décents.
« Ainsi qu’il nous ait donné de constater, la consultation sur l’emploi en santé et la croissance économique n’est plus une rencontre de trop et ne doit pas l’être. Le changement de paradigme souhaité doit être effectif. Abidjan doit permettre à la santé d’avoir son temps de noblesse par l’engagement de toutes les parties prenantes », a souhaité le ministre ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffi.
Au nom du Premier ministre ivoirien Daniel Kablan, le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Dosso Moussa a partagé sa foi que ces deux journées d’échanges et de réflexions, déboucheront sur la formulation de recommandations « fortes » à la Commission de Haut niveau sur l’emploi en santé pour le bien-être des populations.
Sur un déficit de 18 millions en personnels de santé dans le monde, le continent africain revendique 4 millions, a affirmé un des responsables de l’OMS, Agnès Soukat.
fmo/ask
Il s’agit d’une part de permettre aux pays participants de contribuer aux discussions mondiales sur l’emploi en santé et la croissance économique et d’autre part de présenter et de discuter des défis de l’investissement dans les ressources humaines des secteurs de la santé et du social dans les pays concernés.
Selon une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), d’ici à 2030, la demande mondiale de soins en santé sera telle qu’il faudra créer plus de 45 millions d’emplois supplémentaires dans la santé, pour les pays à revenu moyen et élevé. Du coup, développer l’emploi dans les secteurs de la santé et le social, n’est plus non seulement un impératif de santé publique internationale mais aussi une opportunité pour favoriser une croissance économique inclusive et la création d’emplois décents.
« Ainsi qu’il nous ait donné de constater, la consultation sur l’emploi en santé et la croissance économique n’est plus une rencontre de trop et ne doit pas l’être. Le changement de paradigme souhaité doit être effectif. Abidjan doit permettre à la santé d’avoir son temps de noblesse par l’engagement de toutes les parties prenantes », a souhaité le ministre ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Coffi.
Au nom du Premier ministre ivoirien Daniel Kablan, le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Dosso Moussa a partagé sa foi que ces deux journées d’échanges et de réflexions, déboucheront sur la formulation de recommandations « fortes » à la Commission de Haut niveau sur l’emploi en santé pour le bien-être des populations.
Sur un déficit de 18 millions en personnels de santé dans le monde, le continent africain revendique 4 millions, a affirmé un des responsables de l’OMS, Agnès Soukat.
fmo/ask