Le monde de la culture en Côte d’Ivoire a connu une tournure bouleversante ces deux dernières années, cette tournure nous a permit de découvrir l’immensité de ce secteur qui était focalisé jadis sur « les musées nationaux et régionaux ».
La politique nationale de collecte, de traitement et de diffusion des biens culturels ivoiriens était assurée, auparavant, par les musées nationaux et régionaux. Mais depuis 2012, une autre stratégie a été adoptée ; elle est non seulement menée par ces musées mais également par les trente deux (32) directions régionales du Ministère de la Culture et de la Francophonie. L’avantage de cette méthode est la prise en compte de l’ensemble du patrimoine culturel sur toute l’étendue du territoire national. En effet, nommé en 2011 Ministre de la culture et de la francophonie par le président Alassane Ouattara, Maurice Kouakou Bandaman, homme de culture, enseignant et écrivain. En effet, il a pris de grandes décisions et a commencé à mettre sur pied des stratégies dans le but d’aider non seulement le travail des artistes et hommes de culture mais également de faire connaître la culture dans toutes ses composantes à la population ivoirienne. Le ministre Maurice Bandaman a révélé que son département s’est engagé dans la relance et la promotion du cinéma ivoirien par le renforcement de la coopération avec d’autres pays, tels que le Maroc. Toute chose qui s’est traduite par la participation des cinéastes nationaux à des festivals de renom et l’organisation d’une semaine du cinéma marocain en Côte d’Ivoire. Ken Adamo, président de l’Union nationale des artistes de Côte d’Ivoire (Unartci), a félicité le ministre pour avoir permis à de nombreux artistes d’entrer en studio pour sortir des œuvres. De plus, nous assistons à l’engouement des écrivains ainsi qu’à la tenue de plusieurs festivals et salons dans différents domaines. Nous avons, entre autres, le Femua et le Masa qui étaient plus connus mais également le Festival Abi Reggae, le Fisa (Festival international des arts et de la culture de Daoukro), le Festival des fruits de mer, le festival des grillades etc. Ayant compris que la culture est source de richesses, le ministre Maurice Bandaman a entrepris de dynamiser tous les domaines vitaux de ce vaste secteur.
Par Audrey Gnoko
La politique nationale de collecte, de traitement et de diffusion des biens culturels ivoiriens était assurée, auparavant, par les musées nationaux et régionaux. Mais depuis 2012, une autre stratégie a été adoptée ; elle est non seulement menée par ces musées mais également par les trente deux (32) directions régionales du Ministère de la Culture et de la Francophonie. L’avantage de cette méthode est la prise en compte de l’ensemble du patrimoine culturel sur toute l’étendue du territoire national. En effet, nommé en 2011 Ministre de la culture et de la francophonie par le président Alassane Ouattara, Maurice Kouakou Bandaman, homme de culture, enseignant et écrivain. En effet, il a pris de grandes décisions et a commencé à mettre sur pied des stratégies dans le but d’aider non seulement le travail des artistes et hommes de culture mais également de faire connaître la culture dans toutes ses composantes à la population ivoirienne. Le ministre Maurice Bandaman a révélé que son département s’est engagé dans la relance et la promotion du cinéma ivoirien par le renforcement de la coopération avec d’autres pays, tels que le Maroc. Toute chose qui s’est traduite par la participation des cinéastes nationaux à des festivals de renom et l’organisation d’une semaine du cinéma marocain en Côte d’Ivoire. Ken Adamo, président de l’Union nationale des artistes de Côte d’Ivoire (Unartci), a félicité le ministre pour avoir permis à de nombreux artistes d’entrer en studio pour sortir des œuvres. De plus, nous assistons à l’engouement des écrivains ainsi qu’à la tenue de plusieurs festivals et salons dans différents domaines. Nous avons, entre autres, le Femua et le Masa qui étaient plus connus mais également le Festival Abi Reggae, le Fisa (Festival international des arts et de la culture de Daoukro), le Festival des fruits de mer, le festival des grillades etc. Ayant compris que la culture est source de richesses, le ministre Maurice Bandaman a entrepris de dynamiser tous les domaines vitaux de ce vaste secteur.
Par Audrey Gnoko
