Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les performances de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) malgré "la conjoncture difficile" ont été saluées, mardi, à Abidjan par le nouveau président de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le Béninois Marcel Alain De Souza, a constaté un journaliste de APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
«Si vous avez une forte capitalisation, c’est qu’il y a des valeurs ajoutées et des dividendes qui font une attraction. C’est un bon signe », s’est félicité Marcel De Souza au terme d’une visite dans les locaux de la BRVM qui l’a conduit dans les salles de serveur et de marché.
Marcel De Souza , qui en déduis que les gens commencent à prendre le risque, a exhorté la BRVM à poursuivre ses efforts pour accroître « sa renommée car, c’est ce qui donne la confiance ».
« Il faut que les nouvelles sociétés puissent aller à la bourse, ceci la rendra plus dynamique »,a-t-il souligné. Le nouveau président de la Commission de la CEDEAO a par ailleurs suggéré, qu’il « serait bien qu’on établisse une relation étroite entre les 5 bourses de la région ».
«La lutte contre la pauvreté passe par les investissements » , a indiqué le président de la Commission de l’institution sous-régionale.
Abondant dans le même sens, le Directeur général de la BRVM, Edoh Kossi Amenounve,également président du WACMIC (Conseil pour l’Intégration des Marchés de Capitaux Ouest-Africains), « très heureux de la visite » de son hôte « spécialiste des finances et des marchés » a soutenu que « le développement de nos bourses passe par l’intégration ».
La capitalisation du marché dzs actions de cette bourse, commune aux huit Etats membres de l’Union économique et monétaireouest-africaine (UEMOA), a quasiment doublé, passant de 4031 milliards à fin 2012 à 7500 milliards au 31 décembre 2015 avec un taux de plus de 17,55 %, salué par Marcel De Souza, « malgré la conjecture difficile »,consolidant ainsi sa 6è place des bourses Africaines.
L’un des objectifs de la BRVM, est d’être la 2è bourse africaine après celle de Johannesburg (Afrique du Sud).
SY/ls
«Si vous avez une forte capitalisation, c’est qu’il y a des valeurs ajoutées et des dividendes qui font une attraction. C’est un bon signe », s’est félicité Marcel De Souza au terme d’une visite dans les locaux de la BRVM qui l’a conduit dans les salles de serveur et de marché.
Marcel De Souza , qui en déduis que les gens commencent à prendre le risque, a exhorté la BRVM à poursuivre ses efforts pour accroître « sa renommée car, c’est ce qui donne la confiance ».
« Il faut que les nouvelles sociétés puissent aller à la bourse, ceci la rendra plus dynamique »,a-t-il souligné. Le nouveau président de la Commission de la CEDEAO a par ailleurs suggéré, qu’il « serait bien qu’on établisse une relation étroite entre les 5 bourses de la région ».
«La lutte contre la pauvreté passe par les investissements » , a indiqué le président de la Commission de l’institution sous-régionale.
Abondant dans le même sens, le Directeur général de la BRVM, Edoh Kossi Amenounve,également président du WACMIC (Conseil pour l’Intégration des Marchés de Capitaux Ouest-Africains), « très heureux de la visite » de son hôte « spécialiste des finances et des marchés » a soutenu que « le développement de nos bourses passe par l’intégration ».
La capitalisation du marché dzs actions de cette bourse, commune aux huit Etats membres de l’Union économique et monétaireouest-africaine (UEMOA), a quasiment doublé, passant de 4031 milliards à fin 2012 à 7500 milliards au 31 décembre 2015 avec un taux de plus de 17,55 %, salué par Marcel De Souza, « malgré la conjecture difficile »,consolidant ainsi sa 6è place des bourses Africaines.
L’un des objectifs de la BRVM, est d’être la 2è bourse africaine après celle de Johannesburg (Afrique du Sud).
SY/ls