Dans le cadre de la lutte contre la drépanocytose, une vaste campagne de sensibilisation aura lieu bientôt sur tout le territoire national. L’information a été donnée à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de lutte contre la drépanocytose, à l’hôtel communal de Cocody ce dimanche 19 Juin, à l’initiative de l’association GreenLight.
Cette séance dénommée « clin d’œil à la drépanocytose » a pour objectif de contribuer efficacement à la lutte contre la drépanocytose, une maladie chronique, incurable et génétique, la plus répandue dans le monde.
En Côte d’Ivoire on compte 12% de drépanocytaires. Ce chiffre date de 1970. Il a peut-être augmenté avec l’évolution de la population.
Pour joindre l’acte à la parole, l’association a invité Monsieur Pinard Jean-Pierre, magnétologue qui a procédé à la sensibilisation sus indiquée sur la drépanocytose lau cours d’une conférence dont le thème est « mieux connaitre la drépanocytose ». Celle-ci a été le lieu d’une part pour les Docteurs Camara Ismael, du service hématologique du CHU de Yopougon et Jean Paul Pinard du Centre Ivoirien de Magnétothérapie, d’insister sur le fait que la drépanocytose est un fléau touchant de manière physique, psychologique, social les patients et leurs familles.
Et d’autre part, de créer une plate forme unique d’échange entre les patients, leurs familles et les professionnels de santé, afin de leur permettre d’exprimer leur vécu, leurs difficultés au quotidien et d’échanger sur les bonnes pratiques du mieux vivre avec la maladie. Même si cette maladie semble être méconnue en Côte d’Ivoire, plusieurs parents et enfants atteints de la drépanocytose sont venus nombreux s’informer.
La drépanocytose est une maladie grave qui jusqu’à présent ne peut être soignée définitivement à moindre coût et nécessite des précautions particulières toute la vie. Des crises douloureuses (comparable pour certains hématologues à une scie coupant du fer) ou des complications peuvent survenir brusquement sans prévenir.
Le traitement coute cher et les malades n’ont malheureusement pas les moyens de se soigner. De plus, le seul traitement curatif disponible actuellement est la greffe de la moelle osseuse qui ne coute pas moins de 50 000 000 de francs CFA.
Selon Roger-Armel Mian, un des initiateurs de ce programme de sensibilisation, l’association ne compte pas limiter sa politique d’information et de sensibilisation uniquement sur Abidjan.
MIA
Cette séance dénommée « clin d’œil à la drépanocytose » a pour objectif de contribuer efficacement à la lutte contre la drépanocytose, une maladie chronique, incurable et génétique, la plus répandue dans le monde.
En Côte d’Ivoire on compte 12% de drépanocytaires. Ce chiffre date de 1970. Il a peut-être augmenté avec l’évolution de la population.
Pour joindre l’acte à la parole, l’association a invité Monsieur Pinard Jean-Pierre, magnétologue qui a procédé à la sensibilisation sus indiquée sur la drépanocytose lau cours d’une conférence dont le thème est « mieux connaitre la drépanocytose ». Celle-ci a été le lieu d’une part pour les Docteurs Camara Ismael, du service hématologique du CHU de Yopougon et Jean Paul Pinard du Centre Ivoirien de Magnétothérapie, d’insister sur le fait que la drépanocytose est un fléau touchant de manière physique, psychologique, social les patients et leurs familles.
Et d’autre part, de créer une plate forme unique d’échange entre les patients, leurs familles et les professionnels de santé, afin de leur permettre d’exprimer leur vécu, leurs difficultés au quotidien et d’échanger sur les bonnes pratiques du mieux vivre avec la maladie. Même si cette maladie semble être méconnue en Côte d’Ivoire, plusieurs parents et enfants atteints de la drépanocytose sont venus nombreux s’informer.
La drépanocytose est une maladie grave qui jusqu’à présent ne peut être soignée définitivement à moindre coût et nécessite des précautions particulières toute la vie. Des crises douloureuses (comparable pour certains hématologues à une scie coupant du fer) ou des complications peuvent survenir brusquement sans prévenir.
Le traitement coute cher et les malades n’ont malheureusement pas les moyens de se soigner. De plus, le seul traitement curatif disponible actuellement est la greffe de la moelle osseuse qui ne coute pas moins de 50 000 000 de francs CFA.
Selon Roger-Armel Mian, un des initiateurs de ce programme de sensibilisation, l’association ne compte pas limiter sa politique d’information et de sensibilisation uniquement sur Abidjan.
MIA