Le Rotary club de Cocody-Sud d’Abidjan a lancé, vendredi, les opérations pour son projet « extinction de l’ulcère de Buruli » en Côte d’Ivoire où cette maladie continue d’enregistrer une progression dans la lutte, en passant à 600 cas en 2015 contre 3000 auparavant, a appris APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Je suis très ravi. L’ulcère est une maladie invalidante. Nous sommes le premier pays à prendre l’initiative de l’extinction de la maladie. Nous sommes partis d’un lancement de projets à un lancement des opérations », a confié à APA, Alhi Kéïta, Président de la commission permanente « Extinction ulcère de Buruli », du Rotary Abidjan Cocody-Sud après une remise au ministère de la santé de kits comprenant des Smartphones, sacs à dos et autres équipements destinés aux agents de santé communautaires.
« Ce projet intègre une tombola avec la Loterie nationale de Côte d’Ivoire, des agents ont été formés, des partenaires dont l’Ordre des pharmaciens de Côte d’Ivoire et l’Union Nationale des Pharmaciens Privés de Côte d’Ivoire ont accepté le dépôt dans toutes les pharmacies de Côte d’Ivoire de caisses à jetons», a poursuivi M. Kéïta.
Le mécanisme de l’extinction de l’ulcère de Buruli s’appuie sur le système e-SanteUB. « Il s’agit de Smartphones utilisés pouvant faciliter le dépistage de l’ulcère de Buruli dans les zones les plus reculées de la Côte d’Ivoire afin de transmettre en temps réel les données au ministère en charge de la santé », a-t-il expliqué.
Le groupe Magic System qui a presté en décembre dernier au cours d’un concert à Abidjan, dans le cadre de cette extinction a promis lors d’une rencontre avec la ministre ivoirienne en charge de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Koffi, de faire une chanson dans le cadre de la lutte contre cette maladie.
L’ulcère de Buruli est une infection chronique débilitante de la peau et des tissus mous pouvant entraîner des déformations et des incapacités permanentes.
Appelée aussi «mbasu», cette maladie est la troisième mycobactériose touchant l’homme, après la lèpre et la tuberculose qu’elle dépasse même en termes de prévalence dans certaines régions du Bénin, Ghana et Côte d’Ivoire.
En Côte d’Ivoire, 50% des malades ont moins de 15 ans. Cette maladie qui sévit dans les zones à grands potentiels économiques, a pour cible les enfants en âge d’aller à l’école.
« Je suis très ravi. L’ulcère est une maladie invalidante. Nous sommes le premier pays à prendre l’initiative de l’extinction de la maladie. Nous sommes partis d’un lancement de projets à un lancement des opérations », a confié à APA, Alhi Kéïta, Président de la commission permanente « Extinction ulcère de Buruli », du Rotary Abidjan Cocody-Sud après une remise au ministère de la santé de kits comprenant des Smartphones, sacs à dos et autres équipements destinés aux agents de santé communautaires.
« Ce projet intègre une tombola avec la Loterie nationale de Côte d’Ivoire, des agents ont été formés, des partenaires dont l’Ordre des pharmaciens de Côte d’Ivoire et l’Union Nationale des Pharmaciens Privés de Côte d’Ivoire ont accepté le dépôt dans toutes les pharmacies de Côte d’Ivoire de caisses à jetons», a poursuivi M. Kéïta.
Le mécanisme de l’extinction de l’ulcère de Buruli s’appuie sur le système e-SanteUB. « Il s’agit de Smartphones utilisés pouvant faciliter le dépistage de l’ulcère de Buruli dans les zones les plus reculées de la Côte d’Ivoire afin de transmettre en temps réel les données au ministère en charge de la santé », a-t-il expliqué.
Le groupe Magic System qui a presté en décembre dernier au cours d’un concert à Abidjan, dans le cadre de cette extinction a promis lors d’une rencontre avec la ministre ivoirienne en charge de la santé et de l’hygiène publique, Raymonde Goudou Koffi, de faire une chanson dans le cadre de la lutte contre cette maladie.
L’ulcère de Buruli est une infection chronique débilitante de la peau et des tissus mous pouvant entraîner des déformations et des incapacités permanentes.
Appelée aussi «mbasu», cette maladie est la troisième mycobactériose touchant l’homme, après la lèpre et la tuberculose qu’elle dépasse même en termes de prévalence dans certaines régions du Bénin, Ghana et Côte d’Ivoire.
En Côte d’Ivoire, 50% des malades ont moins de 15 ans. Cette maladie qui sévit dans les zones à grands potentiels économiques, a pour cible les enfants en âge d’aller à l’école.