Le siège du Bureau ivoirien des droits d’auteur (Burida), à Cocody les II-Plateaux a abrité une cérémonie de remise de chèques, le vendredi 15 juillet 2016.
Recevant son chèque, au titre de droits d’auteur en sa qualité d’écrivain, Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, a félicité la directrice générale du Burida pour le travail qu’elle abat pour le bien-être des artistes. Poursuivant, il a mis en garde les hommes politiques qui ne s’acquittent pas du payement des droits d’auteur, pour les musiques qu’ils exploitent lors de leurs différents meetings. « Pour l’élection présidentielle, ils nous ont eus. Mais, pour les élections législatives, municipales et régionales à venir, nous n’allons pas jouer avec les candidats. Nous allons poursuivre tous ceux qui ne payeront pas leurs droits, parce que vous ne pouvez pas être élu à l’Assemblée nationale, si vous ne respectez pas les droits des autres. Le droit d’auteur est le salaire de l’artiste », a-t-il dit. Avant d’ajouter : « Je suis content de récupérer mon chèque parce que le droit d’auteur est la récompense de la réflexion et de la transpiration de l’artiste ». Profitant de la cérémonie, le ministre a invité les artistes non identifiés, à se faire enregistrer au Burida. « Lorsque vous n’êtes pas identifié, vos droits se promènent dans la nature. Faites confiance au Burida, venez vous inscrire, sinon vos droits seront perdus », a-t-il conseillé aux artistes. Avant lui, Irène Vieira, directrice générale du Burida a expliqué que les droits versés concernent les droits d'œuvres littéraires, chorégraphiques, théâtrales, et la redevance RTI pour l’année 2014. « Pour cette année 2016, ce sont au total 541.630.224 qui ont été mis en répartition. A ce jour, ce sont 430 124 492 FCFA qui ont été repartis », a-t-elle éclairé. Séry Sylvain, Président du conseil d’administration (Pca) du Burida a, quant à lui, félicité le ministre de la Culture, pour avoir brillamment défendu le projet de loi relatif à la copie privée face aux députés.
ROK
Recevant son chèque, au titre de droits d’auteur en sa qualité d’écrivain, Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, a félicité la directrice générale du Burida pour le travail qu’elle abat pour le bien-être des artistes. Poursuivant, il a mis en garde les hommes politiques qui ne s’acquittent pas du payement des droits d’auteur, pour les musiques qu’ils exploitent lors de leurs différents meetings. « Pour l’élection présidentielle, ils nous ont eus. Mais, pour les élections législatives, municipales et régionales à venir, nous n’allons pas jouer avec les candidats. Nous allons poursuivre tous ceux qui ne payeront pas leurs droits, parce que vous ne pouvez pas être élu à l’Assemblée nationale, si vous ne respectez pas les droits des autres. Le droit d’auteur est le salaire de l’artiste », a-t-il dit. Avant d’ajouter : « Je suis content de récupérer mon chèque parce que le droit d’auteur est la récompense de la réflexion et de la transpiration de l’artiste ». Profitant de la cérémonie, le ministre a invité les artistes non identifiés, à se faire enregistrer au Burida. « Lorsque vous n’êtes pas identifié, vos droits se promènent dans la nature. Faites confiance au Burida, venez vous inscrire, sinon vos droits seront perdus », a-t-il conseillé aux artistes. Avant lui, Irène Vieira, directrice générale du Burida a expliqué que les droits versés concernent les droits d'œuvres littéraires, chorégraphiques, théâtrales, et la redevance RTI pour l’année 2014. « Pour cette année 2016, ce sont au total 541.630.224 qui ont été mis en répartition. A ce jour, ce sont 430 124 492 FCFA qui ont été repartis », a-t-elle éclairé. Séry Sylvain, Président du conseil d’administration (Pca) du Burida a, quant à lui, félicité le ministre de la Culture, pour avoir brillamment défendu le projet de loi relatif à la copie privée face aux députés.
ROK