Abidjan, Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a lancé, jeudi, à l’hôtel Radison Blu de l’aéroport Houphouët-Boigny d’Abidjan, la deuxième phase d’un programme de lutte contre les zoonoses, notamment Ebola et la rage, qui durera cinq ans, une initiative d’Afrique One-Aspire.
Ce consortium de recherche, Afrique One-Aspire, vise le renforcement des capacités des chercheurs africains sur la lutte contre les zoonoses, "des maladies et infections dont les agents se transmettent naturellement des animaux vertébrés à l’homme, et vice-versa", à travers le concept « One Health » ou « une santé pour tous ».
Financé à hauteur de 4,5 milliards de FCFA par l’Académie africaine des sciences, la coopération britannique, l’Union africaine et la Wellcome Trust, « il permettra de former les prochaines générations de jeunes chercheurs en sciences à l’élimination des zoonoses à travers l’approche One Health qui cible la rage, la tuberculose, la brucellose et les pathologies d’origine alimentaire », a souligné le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
A l’initiative du Centre suisse de Recherches scientifiques en Côte d’ivoire (CSRS), ce lancement s’est fait autour d’une conférence sur le dialogue entre les sciences et la société animée par le Pr Francis Akindès, sociologue et professeur à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, en présence du directeur général du Centre suisse de recherche scientifique de Côte d'Ivoire, Pr Bassirou Banfoh.
Ce dernier, par ailleurs directeur du consortium Afrique One-Aspire, a présenté le programme, en présence du directeur de cabinet de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Thiam Assane.
Le programme African science partnership for intervention research excellence (Afrique One-Aspire) s’étend sur sept ans, et comprend sept institutions africaines avec six partenaires, deux institutions dans huit pays (Côte d’Ivoire, Sénégal, Ghana, Tchad, Tanzanie, Kenya, Ouganda, Angleterre et Suisse).
Créé en 1951, le CSRS est placé sous la co-tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ivoirien et du Secrétariat d’Etat à la Formation, la Recherche, l’Innovation de Suisse.
(AIP)
aaa/ask
Ce consortium de recherche, Afrique One-Aspire, vise le renforcement des capacités des chercheurs africains sur la lutte contre les zoonoses, "des maladies et infections dont les agents se transmettent naturellement des animaux vertébrés à l’homme, et vice-versa", à travers le concept « One Health » ou « une santé pour tous ».
Financé à hauteur de 4,5 milliards de FCFA par l’Académie africaine des sciences, la coopération britannique, l’Union africaine et la Wellcome Trust, « il permettra de former les prochaines générations de jeunes chercheurs en sciences à l’élimination des zoonoses à travers l’approche One Health qui cible la rage, la tuberculose, la brucellose et les pathologies d’origine alimentaire », a souligné le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
A l’initiative du Centre suisse de Recherches scientifiques en Côte d’ivoire (CSRS), ce lancement s’est fait autour d’une conférence sur le dialogue entre les sciences et la société animée par le Pr Francis Akindès, sociologue et professeur à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, en présence du directeur général du Centre suisse de recherche scientifique de Côte d'Ivoire, Pr Bassirou Banfoh.
Ce dernier, par ailleurs directeur du consortium Afrique One-Aspire, a présenté le programme, en présence du directeur de cabinet de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Thiam Assane.
Le programme African science partnership for intervention research excellence (Afrique One-Aspire) s’étend sur sept ans, et comprend sept institutions africaines avec six partenaires, deux institutions dans huit pays (Côte d’Ivoire, Sénégal, Ghana, Tchad, Tanzanie, Kenya, Ouganda, Angleterre et Suisse).
Créé en 1951, le CSRS est placé sous la co-tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ivoirien et du Secrétariat d’Etat à la Formation, la Recherche, l’Innovation de Suisse.
(AIP)
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