Les praticiens de la médecine traditionnelle (PMT) ivoiriens issus de 21 districts sanitaires du pays ont débuté jeudi à Yamoussoukro une session de formation sur les pratiques familiales essentielles (PFE) en vue d’une meilleure implication dans les interventions visant à améliorer la survie du couple mère-enfant.
La session de formation des PMT s’inscrit dans la vision de l’État ivoirien de faire l’encadrement des ménages par les agents de santé communautaire (ASC). Elle regroupe 40 leaders praticiens de la médecine traditionnelle qui seront instruits sur la nutrition des enfants, l’hygiène, la gestion des cabinets des PMT et sur les préparatifs des plantes afin d’offrir de meilleurs soins à leurs patients.
« L’objectif de la formation est d’encourager les PMT (désormais autorisés à collaborer avec les praticiens de médecine conventionnelle) à sensibiliser les mères et les femmes enceintes à faire les vaccins, le test du Sida et à référer les malades sans les garder », a expliqué le directeur coordonnateur du programme national de promotion de la médecine traditionnelle, Dr Kroa Ehoulé. Il a indiqué qu'il s’agira en outre de former les PMT à tenir des registres pour renseigner le nombre de patients et les types de maladies soignées.
Selon le Dr Kroa, des études de terrain ont révélé qu’au moins 2000 patients sont enregistrés par an dans les cabinets des PMT et 91 % de la population ont recours à la médecine traditionnelle en première ou en deuxième intention. « Ce, pour des raisons culturelles, d’accessibilité géographique, et financière et pour l’efficacité de la plante » a expliqué Dr Kroa Ehoulé.
Initiée par le ministère de la Santé et de l’hygiène publique en collaboration avec le programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT) avec l’appui technique et financier de l’Unicef la formation concerne au totale 74 leaders PMT. Elle se déroule en deux sessions à Yamoussoukro et le mardi à Abidjan et vise à améliorer les connaissances des PMT, à renforcer les capacités techniques et opérationnelles sur les PFE de la survie du développement du jeune enfant sur les techniques de communication interpersonnelles, l’éthique et les bonnes pratiques en médecine traditionnelle.
(AIP)
nam/kam
La session de formation des PMT s’inscrit dans la vision de l’État ivoirien de faire l’encadrement des ménages par les agents de santé communautaire (ASC). Elle regroupe 40 leaders praticiens de la médecine traditionnelle qui seront instruits sur la nutrition des enfants, l’hygiène, la gestion des cabinets des PMT et sur les préparatifs des plantes afin d’offrir de meilleurs soins à leurs patients.
« L’objectif de la formation est d’encourager les PMT (désormais autorisés à collaborer avec les praticiens de médecine conventionnelle) à sensibiliser les mères et les femmes enceintes à faire les vaccins, le test du Sida et à référer les malades sans les garder », a expliqué le directeur coordonnateur du programme national de promotion de la médecine traditionnelle, Dr Kroa Ehoulé. Il a indiqué qu'il s’agira en outre de former les PMT à tenir des registres pour renseigner le nombre de patients et les types de maladies soignées.
Selon le Dr Kroa, des études de terrain ont révélé qu’au moins 2000 patients sont enregistrés par an dans les cabinets des PMT et 91 % de la population ont recours à la médecine traditionnelle en première ou en deuxième intention. « Ce, pour des raisons culturelles, d’accessibilité géographique, et financière et pour l’efficacité de la plante » a expliqué Dr Kroa Ehoulé.
Initiée par le ministère de la Santé et de l’hygiène publique en collaboration avec le programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT) avec l’appui technique et financier de l’Unicef la formation concerne au totale 74 leaders PMT. Elle se déroule en deux sessions à Yamoussoukro et le mardi à Abidjan et vise à améliorer les connaissances des PMT, à renforcer les capacités techniques et opérationnelles sur les PFE de la survie du développement du jeune enfant sur les techniques de communication interpersonnelles, l’éthique et les bonnes pratiques en médecine traditionnelle.
(AIP)
nam/kam