La 2ème édition du programme africain de recherche visant à former d’autre génération de chercheurs en Afrique sur certaines pandémies, dénommé ‘‘Africa One-Aspire’’ a été lancée le jeudi 21 juillet 2016, dans un complexe hôtelier à Port-Bouët. Les initiateurs dudit programme entendent dans cette 2ème phase, lutter efficacement contre 4 zoonoses qui sévissent au sein des populations en Afrique.
La rage, la tuberculose, la brucellose et les pathologies d’origine alimentaire, sont les maladies prises en compte pour favoriser le bien- être des populations africaines. Lors de la conférence de presse de lancement, Prof. Bassirou Bonfoh, épidémiologiste-vétérinaire et directeur du Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire a souligné que la santé ne doit pas être appréhendée seulement sous l’angle clinique. Il y a également des aspects sociaux qu’il faut considérer. Dans ce sens, il prévoit d’apporter un appui technique au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Pour sa part, le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Thiam Assané a expliqué que ‘’One Health’’ ou ‘‘Une Santé’’, est une approche qui repose sur la mise en place d’une stratégie unifiée pour la santé à l’interface de l’homme, de l’animal, et de l’environnement organisée à travers cinq programmes thématiques de formation. Selon lui, ce projet vise à fournir des résultats de recherche qui permettront de proposer aux publics-cibles, des interventions plus adaptées pour le contrôle et l’élimination des maladies zoonotiques. Ce programme, a-t-il fait comprendre, s’inscrit dans le cadre du développement du leadership des institutions de recherches africaines, dans le domaine de la santé sous le fond du credo: ‘‘ La recherche en Afrique pour les Africains et par les Africains’’. Ce qui va favoriser la formation des prochaines générations de jeunes chercheurs en science de l’élimination des zoonoses en Afrique. M. Thiam Assané a traduit toute sa reconnaissance au directeur du centre suisse de recherches scientifiques en Côte d’Ivoire pour sa contribution significative au rayonnement de la recherche ivoirienne, mais également pour l’appui inestimable apporté aux universités de la Côte d’Ivoire et à celles de la sous-région. Par ailleurs, il a invité les étudiants chercheurs à concevoir des projets innovants, de dimension internationale allant dans le sens de l’amélioration des conditions de vies des populations ivoiriennes. Ce projet s’étend sur 7 ans, et est financé à hauteur de 42,250 millions de FCFA par un consortium de bailleurs de fonds.
O.I
La rage, la tuberculose, la brucellose et les pathologies d’origine alimentaire, sont les maladies prises en compte pour favoriser le bien- être des populations africaines. Lors de la conférence de presse de lancement, Prof. Bassirou Bonfoh, épidémiologiste-vétérinaire et directeur du Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire a souligné que la santé ne doit pas être appréhendée seulement sous l’angle clinique. Il y a également des aspects sociaux qu’il faut considérer. Dans ce sens, il prévoit d’apporter un appui technique au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Pour sa part, le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Thiam Assané a expliqué que ‘’One Health’’ ou ‘‘Une Santé’’, est une approche qui repose sur la mise en place d’une stratégie unifiée pour la santé à l’interface de l’homme, de l’animal, et de l’environnement organisée à travers cinq programmes thématiques de formation. Selon lui, ce projet vise à fournir des résultats de recherche qui permettront de proposer aux publics-cibles, des interventions plus adaptées pour le contrôle et l’élimination des maladies zoonotiques. Ce programme, a-t-il fait comprendre, s’inscrit dans le cadre du développement du leadership des institutions de recherches africaines, dans le domaine de la santé sous le fond du credo: ‘‘ La recherche en Afrique pour les Africains et par les Africains’’. Ce qui va favoriser la formation des prochaines générations de jeunes chercheurs en science de l’élimination des zoonoses en Afrique. M. Thiam Assané a traduit toute sa reconnaissance au directeur du centre suisse de recherches scientifiques en Côte d’Ivoire pour sa contribution significative au rayonnement de la recherche ivoirienne, mais également pour l’appui inestimable apporté aux universités de la Côte d’Ivoire et à celles de la sous-région. Par ailleurs, il a invité les étudiants chercheurs à concevoir des projets innovants, de dimension internationale allant dans le sens de l’amélioration des conditions de vies des populations ivoiriennes. Ce projet s’étend sur 7 ans, et est financé à hauteur de 42,250 millions de FCFA par un consortium de bailleurs de fonds.
O.I
