Frères et sœurs, chers compatriotes,
7 Août 1960 – 7 Août 2016 ; La Côte d’Ivoire, notre pays, a 56 ans !
Il y a donc 56 ans, notre beau pays faisait son entrée dans le concert des pays dits souverains et prétendument indépendants.
La vie de notre jeune nation n’aura pas été de toute accalmie, constamment marquée et défigurée ces dernières décennies par plusieurs crises successives dont la plus violente fut celle intervenue en 2002 du fait d’une rébellion sanglante dont l’issue le 11 Avril 2011, vit l’accession au pouvoir de l’actuel homme fort du pays, par la force armée.
Comme les cinq précédentes années, la Côte d’Ivoire au plan politique continue de vivre sous le joug d’un déni de démocratie, de justice ayant pour corolaires les arrestations et emprisonnements arbitraires, l’exil de milliers de ses fils et filles, une justice partiale et partisane, le népotisme, l’accaparement des richesses nationales par le clan présidentiel.
Au plan socio-économique, le tableau n’est nullement reluisant car les ivoiriens sont de plus en plus confrontés à la cherté de la vie, à l’augmentation des prix des denrées de première nécessité, à l’augmentation des tarifs de l’électricité et de l’eau, au chômage criard de notre jeunesse. Bref, à un grave appauvrissement de la majorité des ivoiriens à qui le pouvoir continu de vendre les mirages d’une prétendue émergence à venir. Ainsi, comme nous le constatons, la Côte d’Ivoire en sa 56ème année d’indépendance est un échec tant au plan socio-politique qu’économique.
Mes chers compatriotes,
Je ne peux évoquer et parler de souveraineté sans me souvenir de l’un de ces illustres souverainistes ayant sacrifié toute sa vie à la lutte pour la démocratie, l’émancipation et l’indépendance véritables de notre pays ; son Excellence Monsieur Laurent GBAGBO, Président légitime et légal de notre pays injustement détenu à la Haye.
Il incarne le combat de la souveraineté et de l’indépendance véritables que notre pays recherche. Son incarcération injuste loin de sa terre natale en ce jour du 7 Août 2016 montre à toutes fins utiles que nous sommes encore très loin de cette indépendance que nous recherchons tous. C’est ce qui justifie qu’il demeure cinq années après sa déportation, encore au centre du débat politique ivoirien malgré les tentatives vaines de tourner sa page.
Frères et Sœurs,
Malgré ce tableau qui peint notre avenir commun en une incertitude, je voudrais vous rassurer de notre détermination et de notre volonté indestructible à lutter et continuer le combat aux côtés du Président Laurent GBAGBO pour une indépendance politique, économique véritables, seule gage de la prise en main de notre destinée et de la mise en valeur et en orbite des aspirations du peuple dans tout projet de société.
Nous ne devons et ne pouvons, nous dérober de cette mission. Notre génération ne doit pas la trahir car sa responsabilité est grande. Les fêtes d’indépendances ne devraient point être des célébrations folkloriques et théâtrales comme c’est le cas en Côte d’Ivoire mais plutôt une occasion de réaffirmation de notre volonté de souveraineté réelle, de la mise en œuvre d’actions pouvant à terme nous assurer la consécration d’une vraie indépendance.
Quant à l’Union des Nouvelles Générations que j’ai l’honneur de présider, le combat pour le retour de la démocratie et de la souveraineté de notre pays demeure une priorité. J’ai foi en notre nation. J’ai foi en notre peuple et j’ai foi en notre combat incarné par le Président Laurent Gbagbo.
Il s’agit d’un devoir vis-à-vis de l’histoire de notre pays. C’est pourquoi je voudrais que cette journée du 7 Août 2016 soit plutôt une journée pour nous convaincre du nécessaire rassemblement autour de la Côte d’Ivoire qui a besoin de nous. Nous n’avons pas le droit de l’abandonner dans cette voie obscure qu’elle a emprunté depuis le 11 Avril 2011.
Avant nous, plusieurs peuples ont mené ce combat pour la souveraineté et l’ont gagné. Nous avons donc le devoir de continuer de mener le nôtre sans fléchir et avec détermination. Ensemble, nous allons le gagner car le Président Laurent Gbagbo nous a ouvert le chemin pour atteindre l’objectif escompté. Gardons donc espoir !
La Côte d’Ivoire a 56 ans aujourd’hui. Moment pour tous, d’œuvrer et de nous engager dans le combat avec plus de ferveur et dans l’union afin d’espérer commémorer les années à venir les festivités d’une vraie indépendance. Nous y croyons et nous y travaillons.
Vive la Côte d’Ivoire pour que vive l’Union des Nouvelles Générations
C’est DIEU qui est fort !
Stéphane KIPRE
7 Août 1960 – 7 Août 2016 ; La Côte d’Ivoire, notre pays, a 56 ans !
Il y a donc 56 ans, notre beau pays faisait son entrée dans le concert des pays dits souverains et prétendument indépendants.
La vie de notre jeune nation n’aura pas été de toute accalmie, constamment marquée et défigurée ces dernières décennies par plusieurs crises successives dont la plus violente fut celle intervenue en 2002 du fait d’une rébellion sanglante dont l’issue le 11 Avril 2011, vit l’accession au pouvoir de l’actuel homme fort du pays, par la force armée.
Comme les cinq précédentes années, la Côte d’Ivoire au plan politique continue de vivre sous le joug d’un déni de démocratie, de justice ayant pour corolaires les arrestations et emprisonnements arbitraires, l’exil de milliers de ses fils et filles, une justice partiale et partisane, le népotisme, l’accaparement des richesses nationales par le clan présidentiel.
Au plan socio-économique, le tableau n’est nullement reluisant car les ivoiriens sont de plus en plus confrontés à la cherté de la vie, à l’augmentation des prix des denrées de première nécessité, à l’augmentation des tarifs de l’électricité et de l’eau, au chômage criard de notre jeunesse. Bref, à un grave appauvrissement de la majorité des ivoiriens à qui le pouvoir continu de vendre les mirages d’une prétendue émergence à venir. Ainsi, comme nous le constatons, la Côte d’Ivoire en sa 56ème année d’indépendance est un échec tant au plan socio-politique qu’économique.
Mes chers compatriotes,
Je ne peux évoquer et parler de souveraineté sans me souvenir de l’un de ces illustres souverainistes ayant sacrifié toute sa vie à la lutte pour la démocratie, l’émancipation et l’indépendance véritables de notre pays ; son Excellence Monsieur Laurent GBAGBO, Président légitime et légal de notre pays injustement détenu à la Haye.
Il incarne le combat de la souveraineté et de l’indépendance véritables que notre pays recherche. Son incarcération injuste loin de sa terre natale en ce jour du 7 Août 2016 montre à toutes fins utiles que nous sommes encore très loin de cette indépendance que nous recherchons tous. C’est ce qui justifie qu’il demeure cinq années après sa déportation, encore au centre du débat politique ivoirien malgré les tentatives vaines de tourner sa page.
Frères et Sœurs,
Malgré ce tableau qui peint notre avenir commun en une incertitude, je voudrais vous rassurer de notre détermination et de notre volonté indestructible à lutter et continuer le combat aux côtés du Président Laurent GBAGBO pour une indépendance politique, économique véritables, seule gage de la prise en main de notre destinée et de la mise en valeur et en orbite des aspirations du peuple dans tout projet de société.
Nous ne devons et ne pouvons, nous dérober de cette mission. Notre génération ne doit pas la trahir car sa responsabilité est grande. Les fêtes d’indépendances ne devraient point être des célébrations folkloriques et théâtrales comme c’est le cas en Côte d’Ivoire mais plutôt une occasion de réaffirmation de notre volonté de souveraineté réelle, de la mise en œuvre d’actions pouvant à terme nous assurer la consécration d’une vraie indépendance.
Quant à l’Union des Nouvelles Générations que j’ai l’honneur de présider, le combat pour le retour de la démocratie et de la souveraineté de notre pays demeure une priorité. J’ai foi en notre nation. J’ai foi en notre peuple et j’ai foi en notre combat incarné par le Président Laurent Gbagbo.
Il s’agit d’un devoir vis-à-vis de l’histoire de notre pays. C’est pourquoi je voudrais que cette journée du 7 Août 2016 soit plutôt une journée pour nous convaincre du nécessaire rassemblement autour de la Côte d’Ivoire qui a besoin de nous. Nous n’avons pas le droit de l’abandonner dans cette voie obscure qu’elle a emprunté depuis le 11 Avril 2011.
Avant nous, plusieurs peuples ont mené ce combat pour la souveraineté et l’ont gagné. Nous avons donc le devoir de continuer de mener le nôtre sans fléchir et avec détermination. Ensemble, nous allons le gagner car le Président Laurent Gbagbo nous a ouvert le chemin pour atteindre l’objectif escompté. Gardons donc espoir !
La Côte d’Ivoire a 56 ans aujourd’hui. Moment pour tous, d’œuvrer et de nous engager dans le combat avec plus de ferveur et dans l’union afin d’espérer commémorer les années à venir les festivités d’une vraie indépendance. Nous y croyons et nous y travaillons.
Vive la Côte d’Ivoire pour que vive l’Union des Nouvelles Générations
C’est DIEU qui est fort !
Stéphane KIPRE
