Bouaké - Le secrétaire général de la préfecture, Yokozo Zozoro Firmin, a exhorté, dimanche, à Bouaké, à l’occasion de la fête nationale, les populations locales, en particulier les jeunes, à "éviter de faire reculer" la ville par des actes de vandalisme et de pillage des biens publics et privés.
M. Yokozo Zozoro qui représentait le préfet de région du Gbêkê à la cérémonie de commémoration du 56e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, a lancé cet appel en invitant les personnes qui ont pillé, le 22 juillet, la préfecture, le Conseil régional, le service des assiettes des impôts du du cadastre, ainsi que le domicile du tout premier maire Djibo Sounkalo et un service de la mairie, à tourner définitivement le dos à la violence.
«Ces événements risquent de fragiliser pour longtemps encore la confiance des opérateurs économiques et des investisseurs dans la localité», a-t-il a souligné, énumérant quelques activités des six derniers mois qui témoignent que la ville montre de plus en le visage d’une cité attractive, sollicitée et accueillante.
Considérant que ces violences ont détruit «les nombreux acquis» enregistrés depuis la sortie de crise, l’administrateur civil conseille que «Bouaké ne peut plus et ne doit plus se permettre de faire un pas en avant et deux pas en arrière au risque de reculer plutôt que d’avancer».
nbf/tm
M. Yokozo Zozoro qui représentait le préfet de région du Gbêkê à la cérémonie de commémoration du 56e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, a lancé cet appel en invitant les personnes qui ont pillé, le 22 juillet, la préfecture, le Conseil régional, le service des assiettes des impôts du du cadastre, ainsi que le domicile du tout premier maire Djibo Sounkalo et un service de la mairie, à tourner définitivement le dos à la violence.
«Ces événements risquent de fragiliser pour longtemps encore la confiance des opérateurs économiques et des investisseurs dans la localité», a-t-il a souligné, énumérant quelques activités des six derniers mois qui témoignent que la ville montre de plus en le visage d’une cité attractive, sollicitée et accueillante.
Considérant que ces violences ont détruit «les nombreux acquis» enregistrés depuis la sortie de crise, l’administrateur civil conseille que «Bouaké ne peut plus et ne doit plus se permettre de faire un pas en avant et deux pas en arrière au risque de reculer plutôt que d’avancer».
nbf/tm
