Touba - Les revendeuses de poisson du grand marché de Touba ont fermé, vendredi, des poissonneries, pour disent-elles, protester contre la cherté du carton de poisson vendu en gros, a constaté l’AIP.
« Le poisson coûte si cher que nous ne faisons pas de bénéfices. Les mercredi et jeudi, nous avons demandé aux gérants des poissonneries de réduire le prix du poisson. C’est avec mépris qu’ils ont refusé. Ce que nous n’avons pas supporté», a confié la porte-parole des revendeuses, Diomandé Mawa.
Un gérant d’une poissonnerie, Bakayoko Adama, a affirmé que les poissons reviennent au plus bas à 12 500 francs et au plus haut à 36 000 francs le carton. Il a ajouté avoir facilité la tâche aux revendeuses en leur permettant de s’approvisionner à crédit.
Une médiation entamée par les responsables locaux de la chambre de commerce et d’industrie a permis la suspension du mouvement des femmes et de l’annulation de leur marche prévue ce samedi sur le marché. Une rencontre des différents acteurs de la filière sous l’égide du corps préfectoral est annoncée pour mardi.
dm/fmo/ask
« Le poisson coûte si cher que nous ne faisons pas de bénéfices. Les mercredi et jeudi, nous avons demandé aux gérants des poissonneries de réduire le prix du poisson. C’est avec mépris qu’ils ont refusé. Ce que nous n’avons pas supporté», a confié la porte-parole des revendeuses, Diomandé Mawa.
Un gérant d’une poissonnerie, Bakayoko Adama, a affirmé que les poissons reviennent au plus bas à 12 500 francs et au plus haut à 36 000 francs le carton. Il a ajouté avoir facilité la tâche aux revendeuses en leur permettant de s’approvisionner à crédit.
Une médiation entamée par les responsables locaux de la chambre de commerce et d’industrie a permis la suspension du mouvement des femmes et de l’annulation de leur marche prévue ce samedi sur le marché. Une rencontre des différents acteurs de la filière sous l’égide du corps préfectoral est annoncée pour mardi.
dm/fmo/ask