Bondoukou - Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, avec à ses côtés son collègue de l’Entrepreneuriat, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Azoumanan Moutayé, a officiellement ouvert, jeudi à Bondoukou, la huitième édition du festival de danses, d’instruments de musique et de costumes traditionnels du Zanzan.
« Dans les actions conduites par le gouvernement pour promouvoir, préserver et soutenir nos cultures, les festivals patrimoniaux constituent un des fers de lance. Naturellement, le festival du Zanzan apparaissait donc comme le pionnier des festivals et notre devoir en tant que citoyen, en tant qu’homme de culture c’est de promouvoir, de soutenir et d’assumer cet héritage que nous faisons avec joie et bonheur », a indiqué M. Bandaman.
Il a souligné que son département a soumis au gouvernement deux projets de création de plusieurs autres festivals sur toute l’étendue du territoire national à l’image de celui du Zanzan. Le ministre Bandaman a salué la bonne appropriation de ce festival par les populations, exprimant ses remerciements aux rois et chefs traditionnels du Zanzan pour leur soutien dans le cadre de sa promotion.
Il a souhaité que le festival du Zanzan grandisse, aille au-delà des frontières ivoiriennes, soulignant qu’il doit pouvoir créer des retombés sur le plan économique, touristique et artisanal au profit des populations.
Le festival du Zanzan s’inscrit dans le programme de sauvegarde et de valorisation du patrimoine culturel national. Il a pour objectif notamment de promouvoir les danses, les instruments de musique et les costumes traditionnels, d’engager le dialogue des cultures dans l’optique de la consolidation des rapports inter communautaires ainsi que d’identifier, conserver et promouvoir la mémoire artistique et culturelle du district du Zanzan. Débuté jeudi, il prend fin samedi.
(AIP)
ns/ask
« Dans les actions conduites par le gouvernement pour promouvoir, préserver et soutenir nos cultures, les festivals patrimoniaux constituent un des fers de lance. Naturellement, le festival du Zanzan apparaissait donc comme le pionnier des festivals et notre devoir en tant que citoyen, en tant qu’homme de culture c’est de promouvoir, de soutenir et d’assumer cet héritage que nous faisons avec joie et bonheur », a indiqué M. Bandaman.
Il a souligné que son département a soumis au gouvernement deux projets de création de plusieurs autres festivals sur toute l’étendue du territoire national à l’image de celui du Zanzan. Le ministre Bandaman a salué la bonne appropriation de ce festival par les populations, exprimant ses remerciements aux rois et chefs traditionnels du Zanzan pour leur soutien dans le cadre de sa promotion.
Il a souhaité que le festival du Zanzan grandisse, aille au-delà des frontières ivoiriennes, soulignant qu’il doit pouvoir créer des retombés sur le plan économique, touristique et artisanal au profit des populations.
Le festival du Zanzan s’inscrit dans le programme de sauvegarde et de valorisation du patrimoine culturel national. Il a pour objectif notamment de promouvoir les danses, les instruments de musique et les costumes traditionnels, d’engager le dialogue des cultures dans l’optique de la consolidation des rapports inter communautaires ainsi que d’identifier, conserver et promouvoir la mémoire artistique et culturelle du district du Zanzan. Débuté jeudi, il prend fin samedi.
(AIP)
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