Pendant cinq jours, du 06 au 10 septembre 2016, le cinéma ivoirien sera en effervescence. La raison, la 16ème édition du Clap Ivoire a ouvert ses portes le mardi 06 septembre 2016 au Majestic Cinéma du Sofitel Hôtel Ivoire. Et ce en présence du ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, du directeur général de l’office national du cinéma de Côte d’Ivoire (Onac-ci), François Yao, du directeur général de la Rti, Ahmadou Bakayoko et d’une forte délégation venue du Sénégal, pays invité d’honneur du Clap Ivoire 2016.
« L’économie dans le cinéma », c’est le thème retenu pour cette 16ème édition du festival du court métrage, Clap Ivoire. Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, a expliqué que le choix du thème de l’édition 2016, en lien avec l’économie, justifie l’intérêt que l’on veut désormais accorder au cinéma, incubateur pour une croissance économique forte et durable. Il a exhorté la jeunesse, en particulier les jeunes cinéastes à saisir cette opportunité, pour développer leurs talents en vue de réaliser des œuvres. Pour lui, Clap Ivoire est un espace d’échanges et d’apprentissage. C’est pourquoi, dira-t-il : « je souhaite que durant cette semaine, les participants se partagent en s’enrichissant mutuellement d’expériences et de savoirs acquis ». Son vœu, est de voir les films en compétition offrir des œuvres de qualité dont la trame, l’esthétique et la technologie consolident le choix préférentiel pour le retour au cinéma de salle.
Quant au directeur général de l’Onac-ci, il a fait savoir que le secteur cinématographique doit connaitre un souffle nouveau afin que la Côte d’Ivoire soit une plateforme majeure du cinéma africain. Pour lui, le thème répond au souci de faire du 7ème art, un instrument de développement à l’instar du café, du cacao, du coton…
Biram Niang, représentant du ministre de la Culture et de la Communication du Sénégal, s’est honoré de sa présence, en ce sens que son pays, le Sénégal a été choisi comme invité d’honneur. Selon lui, c’est à travers la culture et le 7ème art que les liens d’amitié peuvent se resserrer. Cette année, contrairement aux éditions passées, qui se déroulaient seulement à Abidjan, la 16ème édition, sera éclatée. Il y aura des projections dans les villes de l’intérieur du pays notamment à Bassam et la clôture à Yamoussoukro.
La Côte d’Ivoire reçoit les professionnels du court- métrage venant des 8 pays (Côte d’Ivoire, Benin, Mali, Niger, Burkina-Faso, Guinée Bissau, Sénégal et Togo), membres de l’Union économique et monétaire Ouest africaine (Uemoa). Ils sont en compétition dans le but de propulser le cinéma africain. Le jury est présidé par l’Ivoirien Yao Norbert Etranny.
MK
« L’économie dans le cinéma », c’est le thème retenu pour cette 16ème édition du festival du court métrage, Clap Ivoire. Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, a expliqué que le choix du thème de l’édition 2016, en lien avec l’économie, justifie l’intérêt que l’on veut désormais accorder au cinéma, incubateur pour une croissance économique forte et durable. Il a exhorté la jeunesse, en particulier les jeunes cinéastes à saisir cette opportunité, pour développer leurs talents en vue de réaliser des œuvres. Pour lui, Clap Ivoire est un espace d’échanges et d’apprentissage. C’est pourquoi, dira-t-il : « je souhaite que durant cette semaine, les participants se partagent en s’enrichissant mutuellement d’expériences et de savoirs acquis ». Son vœu, est de voir les films en compétition offrir des œuvres de qualité dont la trame, l’esthétique et la technologie consolident le choix préférentiel pour le retour au cinéma de salle.
Quant au directeur général de l’Onac-ci, il a fait savoir que le secteur cinématographique doit connaitre un souffle nouveau afin que la Côte d’Ivoire soit une plateforme majeure du cinéma africain. Pour lui, le thème répond au souci de faire du 7ème art, un instrument de développement à l’instar du café, du cacao, du coton…
Biram Niang, représentant du ministre de la Culture et de la Communication du Sénégal, s’est honoré de sa présence, en ce sens que son pays, le Sénégal a été choisi comme invité d’honneur. Selon lui, c’est à travers la culture et le 7ème art que les liens d’amitié peuvent se resserrer. Cette année, contrairement aux éditions passées, qui se déroulaient seulement à Abidjan, la 16ème édition, sera éclatée. Il y aura des projections dans les villes de l’intérieur du pays notamment à Bassam et la clôture à Yamoussoukro.
La Côte d’Ivoire reçoit les professionnels du court- métrage venant des 8 pays (Côte d’Ivoire, Benin, Mali, Niger, Burkina-Faso, Guinée Bissau, Sénégal et Togo), membres de l’Union économique et monétaire Ouest africaine (Uemoa). Ils sont en compétition dans le but de propulser le cinéma africain. Le jury est présidé par l’Ivoirien Yao Norbert Etranny.
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