Dans le cadre du projet CEDEAO-UE sur les armes légères, La ComNat-ALPC en collaboration avec le PNUD a organisé, du 08 au 09 septembre 2016 un renforcement des capacités de la Société Civile sur les ALPC et les violences armées basées sur le genre sous la présidence et la présence effective de M. Brou KOUAME, Préfet de la région du Haut Sassandra, Préfet du département de Daloa.
Les capacités des organisations de la société civile ont été renforcées sur trois modules.
Le premier module portant sur les généralités des violences basées sur le genre ( VBG) et la prise en charge juridique et judiciaire de celles-ci en Cote d’ Ivoire nous a défini les différents types de VBG qui sont le viol, l’agression sexuelle et physique, le mariage forcé, le déni de ressources, d’opportunité ou de service, et la maltraitance psychologique ainsi qu’émotionnelle. Aussi toutes ces violences auraient-elles de graves conséquences sur les victimes au niveau somatique, psychologique, social. Des instruments ont également été mis en place pour la protection des survivants des VBG ce sont entre autres : la déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, la Convention pour l’Elimination de toutes les Formes de Discrimination à l’Egard des Femmes (CEDEF) et la Convention des Nations Unies relatif aux Droits des Enfants (CDE) et ses protocoles additionnels et les instruments nationaux composés de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.
Les techniques de sensibilisation au dépôt volontaire des armes ont également été inculquées aux membres de la société civile qui sont en charge d’assurer le relai auprès des communautés pour la diffusion des messages de sensibilisation. Une personne détenant encore illégalement une arme peut la déposer volontairement au commissariat de police, à la brigade de gendarmerie, à la préfecture ou la sous-préfecture de la localité ou encore appeler le numéro vert gratuit 8000 04 04.
Monsieur FOFANA Ali, Coordonnateur du Projet CEDEAO- UE sur les armes légères a également présenté le projet, à travers ses objectifs et ses réalisations.
Au regard de tout ce qui précède, les participants ont pu conclure que la détention illégale des ALPC constituait un facteur d’accroissement des VBG.
A l’issue de la formation, les participants ont formulé les recommandations suivantes à l’endroit du gouvernement:
· Pérenniser l’activité des structures en charge de recenser les cas de VBG et assurer une prise en charge des victimes.
· Créer des centres de transit pour les survivants aux VBG.
· Assurer une coordination des activités des structures en charge des VBG
· Faire une enquête de moralité des agents des structures spécialisées en charge de la lutte contre les VBG
· Régler le problème de la détention illégale d’arme par les dozos.
Les capacités des organisations de la société civile ont été renforcées sur trois modules.
Le premier module portant sur les généralités des violences basées sur le genre ( VBG) et la prise en charge juridique et judiciaire de celles-ci en Cote d’ Ivoire nous a défini les différents types de VBG qui sont le viol, l’agression sexuelle et physique, le mariage forcé, le déni de ressources, d’opportunité ou de service, et la maltraitance psychologique ainsi qu’émotionnelle. Aussi toutes ces violences auraient-elles de graves conséquences sur les victimes au niveau somatique, psychologique, social. Des instruments ont également été mis en place pour la protection des survivants des VBG ce sont entre autres : la déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, la Convention pour l’Elimination de toutes les Formes de Discrimination à l’Egard des Femmes (CEDEF) et la Convention des Nations Unies relatif aux Droits des Enfants (CDE) et ses protocoles additionnels et les instruments nationaux composés de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.
Les techniques de sensibilisation au dépôt volontaire des armes ont également été inculquées aux membres de la société civile qui sont en charge d’assurer le relai auprès des communautés pour la diffusion des messages de sensibilisation. Une personne détenant encore illégalement une arme peut la déposer volontairement au commissariat de police, à la brigade de gendarmerie, à la préfecture ou la sous-préfecture de la localité ou encore appeler le numéro vert gratuit 8000 04 04.
Monsieur FOFANA Ali, Coordonnateur du Projet CEDEAO- UE sur les armes légères a également présenté le projet, à travers ses objectifs et ses réalisations.
Au regard de tout ce qui précède, les participants ont pu conclure que la détention illégale des ALPC constituait un facteur d’accroissement des VBG.
A l’issue de la formation, les participants ont formulé les recommandations suivantes à l’endroit du gouvernement:
· Pérenniser l’activité des structures en charge de recenser les cas de VBG et assurer une prise en charge des victimes.
· Créer des centres de transit pour les survivants aux VBG.
· Assurer une coordination des activités des structures en charge des VBG
· Faire une enquête de moralité des agents des structures spécialisées en charge de la lutte contre les VBG
· Régler le problème de la détention illégale d’arme par les dozos.