Contribuer efficacement à lever la barrière législative et socioculturelle et à booster en avant le processus pour une loi SSR/PF en Côte d’Ivoire tel est l’objectif de la rencontre initié par le Réseaux de Champion en Plaidoyer pour le Financement Adéquat de la Santé en Côte d’Ivoire dans commune de Yopougon le 9 septembre dernier.]
Cette rencontre avec les serviteurs ou leaders religieux, la société civile de Yopougon et bien d’autres organisation en faveur de la santé a été le lieu pour les organisateurs de sensibiliser les leaders religieux sur la nécessité d’agir maintenant avec l’outil le RAPID, de rallier les OSCY forte de plus d’une vingtaine d’Organisations à la cause la loi, de partager les expériences des rencontres et vécus avec la disponibilité des PTF, mais aussi de contribuer à vulgariser les bonnes pratiques en SSR et PF. ’’ nous voulons intégrer le concept de la santé de la reproduction dans le cadre juridique et réglementaire de façon à améliorer la santé des individus et des populations et favoriser la pratique, la protection et la promotion de la santé sexuelle, reproductive et infantile’’ a fait noter Dougrou Augustin, député de Gagnoa sous-préfecture.
Selon les initiateurs, ce cadre d’échange a été crée au regard de l’environnement institutionnel et juridique en Côte d’Ivoire qui relève des insuffisances, en matière de de Santé Sexuelle et Reproductive (SSR). En effet, certaines barrières liées aux textes juridiques, aux pratiques sociales et religieuses ont réduit d’une part l’efficacité de la promotion de la santé en matière de sexualité et de reproduction et, d’autre part, l’exercice plein et entier par les populations de leurs droits dans ces domaines. Dès lors le dividende démographique ne peut être capitalisé: il demeure un dénominateur commun aux pays développés ou émergents. C’est sans doute en réponse à cette situation, que le Réseau de Champions pour le Financement Adéquat de la Santé en Côte d’Ivoire s’est engagé auprès Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique afin de relever les barrières juridiques d’une part, et d’autre part, les barrières religieuses et socioculturelles que constituent les Organisations religieuses et celles de la Société Civile.
Cette rencontre avec les serviteurs ou leaders religieux, la société civile de Yopougon et bien d’autres organisation en faveur de la santé a été le lieu pour les organisateurs de sensibiliser les leaders religieux sur la nécessité d’agir maintenant avec l’outil le RAPID, de rallier les OSCY forte de plus d’une vingtaine d’Organisations à la cause la loi, de partager les expériences des rencontres et vécus avec la disponibilité des PTF, mais aussi de contribuer à vulgariser les bonnes pratiques en SSR et PF. ’’ nous voulons intégrer le concept de la santé de la reproduction dans le cadre juridique et réglementaire de façon à améliorer la santé des individus et des populations et favoriser la pratique, la protection et la promotion de la santé sexuelle, reproductive et infantile’’ a fait noter Dougrou Augustin, député de Gagnoa sous-préfecture.
Selon les initiateurs, ce cadre d’échange a été crée au regard de l’environnement institutionnel et juridique en Côte d’Ivoire qui relève des insuffisances, en matière de de Santé Sexuelle et Reproductive (SSR). En effet, certaines barrières liées aux textes juridiques, aux pratiques sociales et religieuses ont réduit d’une part l’efficacité de la promotion de la santé en matière de sexualité et de reproduction et, d’autre part, l’exercice plein et entier par les populations de leurs droits dans ces domaines. Dès lors le dividende démographique ne peut être capitalisé: il demeure un dénominateur commun aux pays développés ou émergents. C’est sans doute en réponse à cette situation, que le Réseau de Champions pour le Financement Adéquat de la Santé en Côte d’Ivoire s’est engagé auprès Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique afin de relever les barrières juridiques d’une part, et d’autre part, les barrières religieuses et socioculturelles que constituent les Organisations religieuses et celles de la Société Civile.