«Une jeunesse entreprenante sans toxicomanie ». C’est le thème qui a été retenu pour la journée nationale de la Croix-Bleue de l'église méthodiste- unie de Côte d'Ivoire célébrée du 23 au 25 septembre à l'église méthodiste unie d'Ahouniassou .
A cette occasion, le président national de la Croix-Bleue de Côte d'Ivoire Gbanta Laurent, a tiré la sonnette d'alarme sur les méfaits des substances toxiques comme le tabac, la drogue et l'alcool sur la santé de tous. «La toxicomanie est une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, de continuer l'usage de la substance ou du comportement en cause. Au cours de l'année 2015, le centre d'accueil de la Croix-Bleue, qui a pour mission d'assurer l'accueil, l'information des usagers de drogues, d'alcool et du tabac a enregistré 195 drogués, 200 alcooliques et 225 accros du tabac », a-t-il révélé. Avant d’affirmer qu’ensemble, l’on peut vaillamment endiguer la progression de ce mal. Selon lui, la toxicomanie chez les jeunes est un sujet préoccupant. C’est en vue de conscientiser la population sur les dangers de ce fléau, que ces campagnes de sensibilisation, se déroulent aussi bien en zone rurale qu'en zone urbaine.
L'Aumônier général, le Révérend André Aké Essoh, s'appuyant sur des versets bibliques, a dans sa prédication, attiré l'attention de tous sur les conséquences de l'usage abusif des stupéfiants. « C'est assez d'avoir passé le temps dans l'ivrognerie. L'ivrognerie est un danger pour l'homme et sa société. La consommation abusive de l'alcool est un danger, un contre témoignage pour l'évangélisation surtout quand on est chrétien. Le chrétien ivrogne est un scandale, une honte pour lui-même, pour sa famille et pour son église. L'issu d'un tel croyant au jugement de Dieu c'est la mort et l'enfer », fait il remarquer.
La Croix Bleu existe en Côte d'Ivoire depuis 1930, elle aide ceux qui ont des problèmes avec l'alcool et autres drogues et dispose depuis 1972, d'un centre de cure et de désintoxication dénommé centre d'accueil de la Croix-Bleu. La cérémonie du jour était présidée par Jules Kouadio, Chef de cabinet du préfet de région, et Hamadou Bamba, 2 ème adjoint au maire.
A. K.
A cette occasion, le président national de la Croix-Bleue de Côte d'Ivoire Gbanta Laurent, a tiré la sonnette d'alarme sur les méfaits des substances toxiques comme le tabac, la drogue et l'alcool sur la santé de tous. «La toxicomanie est une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, de continuer l'usage de la substance ou du comportement en cause. Au cours de l'année 2015, le centre d'accueil de la Croix-Bleue, qui a pour mission d'assurer l'accueil, l'information des usagers de drogues, d'alcool et du tabac a enregistré 195 drogués, 200 alcooliques et 225 accros du tabac », a-t-il révélé. Avant d’affirmer qu’ensemble, l’on peut vaillamment endiguer la progression de ce mal. Selon lui, la toxicomanie chez les jeunes est un sujet préoccupant. C’est en vue de conscientiser la population sur les dangers de ce fléau, que ces campagnes de sensibilisation, se déroulent aussi bien en zone rurale qu'en zone urbaine.
L'Aumônier général, le Révérend André Aké Essoh, s'appuyant sur des versets bibliques, a dans sa prédication, attiré l'attention de tous sur les conséquences de l'usage abusif des stupéfiants. « C'est assez d'avoir passé le temps dans l'ivrognerie. L'ivrognerie est un danger pour l'homme et sa société. La consommation abusive de l'alcool est un danger, un contre témoignage pour l'évangélisation surtout quand on est chrétien. Le chrétien ivrogne est un scandale, une honte pour lui-même, pour sa famille et pour son église. L'issu d'un tel croyant au jugement de Dieu c'est la mort et l'enfer », fait il remarquer.
La Croix Bleu existe en Côte d'Ivoire depuis 1930, elle aide ceux qui ont des problèmes avec l'alcool et autres drogues et dispose depuis 1972, d'un centre de cure et de désintoxication dénommé centre d'accueil de la Croix-Bleu. La cérémonie du jour était présidée par Jules Kouadio, Chef de cabinet du préfet de région, et Hamadou Bamba, 2 ème adjoint au maire.
A. K.
