«En 2008, sur environ 101 200 décès dus aux maladies non- transmissibles enregistrés, les maladies cardiovasculaires y ont contribué pour 15%, représentant ainsi la principale cause des décès en Côte d’Ivoire», a soutenu Dr. Gagne Eugénie, représentante de la ministre Raymonde Goudou-Coffie, hier à la journée mondiale du cœur, célébrée au centre de santé d’Anoumabo, à Marcory. Ainsi, profitant de cette occasion, Dr. Gagne Eugénie a exhorté les populations à une prise de conscience afin de lutter efficacement contre ce fléau qui fait 30% du taux de mortalité dans le monde.
Selon elle, les principaux facteurs de risque cardiovasculaire sont l’hérédité, le sexe et l’âge sur lesquels l’on ne peut agir. En revanche, par la prévention et le changement de modes de vie, l’on peut venir à bout du cholestérol, l’hypertension artérielle, le tabac et la sédentarité. «Le gouvernement a créé deux programmes de santé publique exclusivement chargés de lutter contre les maladies non transmissibles, les maladies cardiovasculaires et le diabète. Ce sont le programme national de prévention des maladies non transmissibles et celui de la lutte contre les maladies métaboliques», a indiqué Dr. Gagne Eugénie. Pour sa part, Dr. Tano Bian, représentant du représentant-résident de l’Oms, plus de 17,5 millions de personnes meurent chaque année des maladies cardiovasculaires dans le monde. Poursuivant, l’expert de l’Oms a ajouté que ce mal gagne du terrain des les pays du tiers monde. Notamment en Afrique.
Tuo Ali
Selon elle, les principaux facteurs de risque cardiovasculaire sont l’hérédité, le sexe et l’âge sur lesquels l’on ne peut agir. En revanche, par la prévention et le changement de modes de vie, l’on peut venir à bout du cholestérol, l’hypertension artérielle, le tabac et la sédentarité. «Le gouvernement a créé deux programmes de santé publique exclusivement chargés de lutter contre les maladies non transmissibles, les maladies cardiovasculaires et le diabète. Ce sont le programme national de prévention des maladies non transmissibles et celui de la lutte contre les maladies métaboliques», a indiqué Dr. Gagne Eugénie. Pour sa part, Dr. Tano Bian, représentant du représentant-résident de l’Oms, plus de 17,5 millions de personnes meurent chaque année des maladies cardiovasculaires dans le monde. Poursuivant, l’expert de l’Oms a ajouté que ce mal gagne du terrain des les pays du tiers monde. Notamment en Afrique.
Tuo Ali