L’écrivain Jean Claude Dakouri a procédé, vendredi, à Abidjan, à la dédicace de son livre intitulé « Droit des transports maritimes » qui se veut être une contribution à l’amélioration des services maritimes de notre pays.
L’ouvrage de 284 pages qui contient les plus récentes dispositions du droit maritime ivoirien et des conventions internationales est subdivisé en trois parties dont le navire, l’exploitation du navire et les événements de la mer.
Il présente également les Conventions internationales qui régissent la navigation sur la mer, les dispositions qui favorisent le financement des navires et la garantie des investisseurs ainsi que celles qui décrivent les relations entre assureurs, armateurs et autres opérateurs intervenant dans l’exploitation des bâtiments de mer marchands.
Selon l’auteur, il s’agit d’un livre qui se veut pratique et accessible à tous les praticiens du droit général et aux opérateurs économiques du monde maritime.
L’écriture d’un tel livre est le fait d’un amer constat fait par M. Dakouri. Nos Etats africains comme la Côte d’Ivoire ne disposent pas de flottes maritimes. Leurs navires sont pour la plupart des chargeurs.
Ce qui résulte d’une sévère dépendance aux armements étrangers. « Ce situation est de nature à priver nos Etats de réaliser des économies d’échelle » déplore-t-il.
Par ailleurs il a exhortés les autorités à intégrer dans leur politique de développement, la stratégie d’occupation de la mer au moyen de la création d’armements nationaux et à renforcer les capacités des deux ports (Abidjan et San Pedro) en modernisant les installations portuaires.
Le directeur général de l’Office Ivoirien des Chargeurs (OIC), Sidibé Issoufou, par ailleurs parrain de l’œuvre à souligné l’intéressement de la structure qu’il dirige pour les sujets importants traités dans le livre.
Notons que l’auteur est à l’origine de plusieurs autres écrits dont « le consensualisme dans le droit des contrats : net recul d’une primauté » et « la réparation transactionnelle des dommages liés aux transports de déchets dangereux : Cas de l’affaire Probo Koala en Côte d’Ivoire. »
Atapointe
L’ouvrage de 284 pages qui contient les plus récentes dispositions du droit maritime ivoirien et des conventions internationales est subdivisé en trois parties dont le navire, l’exploitation du navire et les événements de la mer.
Il présente également les Conventions internationales qui régissent la navigation sur la mer, les dispositions qui favorisent le financement des navires et la garantie des investisseurs ainsi que celles qui décrivent les relations entre assureurs, armateurs et autres opérateurs intervenant dans l’exploitation des bâtiments de mer marchands.
Selon l’auteur, il s’agit d’un livre qui se veut pratique et accessible à tous les praticiens du droit général et aux opérateurs économiques du monde maritime.
L’écriture d’un tel livre est le fait d’un amer constat fait par M. Dakouri. Nos Etats africains comme la Côte d’Ivoire ne disposent pas de flottes maritimes. Leurs navires sont pour la plupart des chargeurs.
Ce qui résulte d’une sévère dépendance aux armements étrangers. « Ce situation est de nature à priver nos Etats de réaliser des économies d’échelle » déplore-t-il.
Par ailleurs il a exhortés les autorités à intégrer dans leur politique de développement, la stratégie d’occupation de la mer au moyen de la création d’armements nationaux et à renforcer les capacités des deux ports (Abidjan et San Pedro) en modernisant les installations portuaires.
Le directeur général de l’Office Ivoirien des Chargeurs (OIC), Sidibé Issoufou, par ailleurs parrain de l’œuvre à souligné l’intéressement de la structure qu’il dirige pour les sujets importants traités dans le livre.
Notons que l’auteur est à l’origine de plusieurs autres écrits dont « le consensualisme dans le droit des contrats : net recul d’une primauté » et « la réparation transactionnelle des dommages liés aux transports de déchets dangereux : Cas de l’affaire Probo Koala en Côte d’Ivoire. »
Atapointe