Le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), organe national de gestion collective des droits des créateurs d’œuvres de l’esprit enregistre une recette mensuelle de trois millions de FCFA dans son antenne régionale de Yamoussoukro (capitale politique), selon un rapport communiqué mardi à ALERTE INFO.
Cette somme est le total des redevances versées à l’antenne locale du Burida par près de 300 Etablissements recevant du public (ERP): hôtels, restaurants, bistros, stations-services, etc.), de quatre villes du Centre ivoirien: Yamoussoukro, Bouaflé, Dimbokro et Toumodi), au titre de l’exploitation des œuvres des créateurs, principalement des artistes chanteurs et des acteurs, indique le rapport.
Le droit à payer qui part de 6.500 à 500.000 FCFA est fixé par le Burida en fonction de la taille, la renommée et le taux de fréquentation de l’établissement.
Pour leurs espaces sonorisés et les téléviseurs dans les différentes chambres, l’hôtel président de Yamoussoukro (cinq étoiles, 285 lits) verse la somme de 500.000 FCFA comme redevance, tandis que HP Resort (ex-hôtel des parlementaires, quatre étoiles, 300 appartements) paye mensuellement entre 200 et 300.000 FCFA, révèle les chiffres du Burida local.
L’antenne Burida de la capitale politique ivoirienne joue essentiellement le rôle d’une régie financière à travers la collecte les Fonds qu'elle transfère au siège central à Abidjan où sont déclarés la plus part de tous les ayants droits qui les reçoivent périodiquement.
Une redistribution trimestrielle aux créateurs, via leur compte, au cours de laquelle "certains reçoivent jusqu’à cinq millions FCFA", en fonction de la sollicitation de leur(s) œuvre(s), a confié sous couvert de l’anonymat, un membre du Conseil d’administration de cet institution étatique.
Placé sous la tutelle du ministère ivoirien de la Culture et de la francophonie, le Burida gère plus de 6.000 auteurs, producteurs, artistes interprètes et un répertoire de plus 72.000 œuvres.
ATI
Cette somme est le total des redevances versées à l’antenne locale du Burida par près de 300 Etablissements recevant du public (ERP): hôtels, restaurants, bistros, stations-services, etc.), de quatre villes du Centre ivoirien: Yamoussoukro, Bouaflé, Dimbokro et Toumodi), au titre de l’exploitation des œuvres des créateurs, principalement des artistes chanteurs et des acteurs, indique le rapport.
Le droit à payer qui part de 6.500 à 500.000 FCFA est fixé par le Burida en fonction de la taille, la renommée et le taux de fréquentation de l’établissement.
Pour leurs espaces sonorisés et les téléviseurs dans les différentes chambres, l’hôtel président de Yamoussoukro (cinq étoiles, 285 lits) verse la somme de 500.000 FCFA comme redevance, tandis que HP Resort (ex-hôtel des parlementaires, quatre étoiles, 300 appartements) paye mensuellement entre 200 et 300.000 FCFA, révèle les chiffres du Burida local.
L’antenne Burida de la capitale politique ivoirienne joue essentiellement le rôle d’une régie financière à travers la collecte les Fonds qu'elle transfère au siège central à Abidjan où sont déclarés la plus part de tous les ayants droits qui les reçoivent périodiquement.
Une redistribution trimestrielle aux créateurs, via leur compte, au cours de laquelle "certains reçoivent jusqu’à cinq millions FCFA", en fonction de la sollicitation de leur(s) œuvre(s), a confié sous couvert de l’anonymat, un membre du Conseil d’administration de cet institution étatique.
Placé sous la tutelle du ministère ivoirien de la Culture et de la francophonie, le Burida gère plus de 6.000 auteurs, producteurs, artistes interprètes et un répertoire de plus 72.000 œuvres.
ATI
