Abidjan (Côte d’Ivoire) - La Polyclinique internationale Sainte-Anne-Marie (PISAM) d’Abidjan et l’hôpital américain de Paris ont signé, mardi, dans la capitale économique ivoirienne une convention en vue d’améliorer la qualité des soins offerts aux patients, a constaté APA sur place à Abidjan.
Cette convention paraphée par le Président directeur général de la PISAM, Eric Djibo et le Directeur général adjoint de l’hôpital américain de Paris, Yves Pinot repose sur trois axes.
Le premier axe est basé sur ‘’un échange de compétence’’ qui permettra aux ‘’médecins de la PISAM de partir à l’hôpital américain de Paris pour travailler avec leurs collègues français et les médecins français pourront venir à la PISAM pour montrer de nouvelles techniques à leurs collègues ivoiriens’’.
Le second axe permettra ‘’d’assurer un suivi médical aux patients parce que vous savez que nous ne pouvons pas soigner toutes les pathologies. L’hôpital américain de Paris a un niveau supérieur au nôtre’’, a expliqué M. Djibo.
‘’Au moment où, on se rendra compte que nous ne pouvons plus prendre en charge un patient, il pourra avoir un accès rapide à l’hôpital américain de Paris et à ses spécialités’’, a ajouté le PDG de la PISAM, soulignant enfin, qu’il y a des ‘’tarifs négociés et préférentiels avec l’hôpital américain ’’.
‘’Il faut savoir que c’est la première convention que l’hôpital américain signe avec un hôpital d’Afrique noire. Donc nous sommes fiers de la confiance qu’ils nous ont fait et nous espérons que nous allons continuer de nous développer pour pouvoir garder ce partenariat’’ a conclu Eric Djibo.
La PISAM est un établissement hospitalier privé ivoirien ouvert en 1985 en vue notamment de constituer une alternative aux difficultés d’équipement constatées dans les Centres hospitaliers universitaires (CHU) publics d’Abidjan.
‘’Il y a deux ans, M. Djibo nous a décrit son projet et on a dit c’est un projet intéressant mais on veut voir’’, a expliqué de son côté Yves Pinot, ajoutant qu’aujourd’hui, Eric Djibo ‘’a fait une levée de fonds et il commence à rénover la PISAM’’.
‘’On s’est dit aujourd’hui qu’on va l’accompagner parce qu’il a une vraie vision. Ce qu’il a présenté comme projet est extrêmement ambitieux. Nous l’avons mis en place à l’hôpital américain et ça nous a pris des années pour le mettre en place’’, a rappelé M. Pinot.
Pour lui, ‘’le fait de pouvoir échanger un dossier numérique permet de gagner du temps et de l’efficience parce que nous aurons les bonnes données médicales’’.
‘’C’est un exemple révolutionnaire’’, s’est-il félicité.
L’objectif de cette convention a conclu, le Directeur général adjoint de l’hôpital américain de Paris, ‘’c’est d’accompagner la PISAM dans son développement et dans la sécurisation des soins donnés aux patients’’.
L’hôpital américain de Paris est un établissement hospitalier franco-américain, soutenu par une fondation privée à but non lucratif, fondé en 1906 à Neuilly-sur-Seine, dans la proche banlieue de Paris.
En 1918, il a été reconnu comme une structure d’utilité publique par l’Etat français. 60% de ses patients sont des français et 40% sont de l’étranger. Sur l’effectif de 40% de patients étrangers, 28% proviennent de l’Afrique subsaharienne.
LS
Cette convention paraphée par le Président directeur général de la PISAM, Eric Djibo et le Directeur général adjoint de l’hôpital américain de Paris, Yves Pinot repose sur trois axes.
Le premier axe est basé sur ‘’un échange de compétence’’ qui permettra aux ‘’médecins de la PISAM de partir à l’hôpital américain de Paris pour travailler avec leurs collègues français et les médecins français pourront venir à la PISAM pour montrer de nouvelles techniques à leurs collègues ivoiriens’’.
Le second axe permettra ‘’d’assurer un suivi médical aux patients parce que vous savez que nous ne pouvons pas soigner toutes les pathologies. L’hôpital américain de Paris a un niveau supérieur au nôtre’’, a expliqué M. Djibo.
‘’Au moment où, on se rendra compte que nous ne pouvons plus prendre en charge un patient, il pourra avoir un accès rapide à l’hôpital américain de Paris et à ses spécialités’’, a ajouté le PDG de la PISAM, soulignant enfin, qu’il y a des ‘’tarifs négociés et préférentiels avec l’hôpital américain ’’.
‘’Il faut savoir que c’est la première convention que l’hôpital américain signe avec un hôpital d’Afrique noire. Donc nous sommes fiers de la confiance qu’ils nous ont fait et nous espérons que nous allons continuer de nous développer pour pouvoir garder ce partenariat’’ a conclu Eric Djibo.
La PISAM est un établissement hospitalier privé ivoirien ouvert en 1985 en vue notamment de constituer une alternative aux difficultés d’équipement constatées dans les Centres hospitaliers universitaires (CHU) publics d’Abidjan.
‘’Il y a deux ans, M. Djibo nous a décrit son projet et on a dit c’est un projet intéressant mais on veut voir’’, a expliqué de son côté Yves Pinot, ajoutant qu’aujourd’hui, Eric Djibo ‘’a fait une levée de fonds et il commence à rénover la PISAM’’.
‘’On s’est dit aujourd’hui qu’on va l’accompagner parce qu’il a une vraie vision. Ce qu’il a présenté comme projet est extrêmement ambitieux. Nous l’avons mis en place à l’hôpital américain et ça nous a pris des années pour le mettre en place’’, a rappelé M. Pinot.
Pour lui, ‘’le fait de pouvoir échanger un dossier numérique permet de gagner du temps et de l’efficience parce que nous aurons les bonnes données médicales’’.
‘’C’est un exemple révolutionnaire’’, s’est-il félicité.
L’objectif de cette convention a conclu, le Directeur général adjoint de l’hôpital américain de Paris, ‘’c’est d’accompagner la PISAM dans son développement et dans la sécurisation des soins donnés aux patients’’.
L’hôpital américain de Paris est un établissement hospitalier franco-américain, soutenu par une fondation privée à but non lucratif, fondé en 1906 à Neuilly-sur-Seine, dans la proche banlieue de Paris.
En 1918, il a été reconnu comme une structure d’utilité publique par l’Etat français. 60% de ses patients sont des français et 40% sont de l’étranger. Sur l’effectif de 40% de patients étrangers, 28% proviennent de l’Afrique subsaharienne.
LS
