200 millions F CFA. C’est la somme qu’il faut au Programme national de lutte contre le cancer (PNLCa) pour ouvrir une salle de chimiothérapie (CHU de Treichville), deux salles de mammographie (CHU de Yopougon + CHU de Coco/ CHU de Bouaké) en vue de lutter contre le cancer du sein. Ce fonds permettra également de sensibiliser 50% de la population urbaine et inciter au dépistage entre 2016 et 2017. L’information a été donnée par le Professeur Innocent Adoubi, Directeur du PNLCa, à l’occasion de l’atelier de formation des journalistes dans le cadre des activités de « Octobre rose », mois dédié à lutte contre le cancer du sein. C’était le vendredi 7 octobre 2016 à Abidjan. 30 journalistes au total, désormais en réseau pour la cause, ont été formés au cours de cet atelier.
Cette rencontre avait pour objectifs notamment d’accentuer les connaissances des journalistes sur les cancers et celui du sein en particulier, améliorer la diffusion de l’information concernant cette pathologie et présenter la Campagne de Rose. Le constat, en effet, est que les hommes des médias présentent des lacunes dans leurs connaissances sur le cancer. Leur niveau de compréhension de la maladie de façon générale est très peu reluisant. Cet état de fait tire son origine d’une part de la documentation très variée et non spécifique mais aussi du manque de travail scientifique de l’information donnée. Il existe alors aujourd’hui, selon le PNLCa, un réel besoin d’informations concernant la santé, surtout dans le domaine du cancer car, de nombreuses études ont souligné qu’une information de qualité améliore le diagnostic précoce des cancers.
L’atelier de formation des journalistes de la lutte contre le cancer pour l’information et l’éducation (IEC/CCC) a été organisé par le ministère de la Santé et de l’hygiène publique (MSHP) à travers le PNLCa avec l’appui financier de Hoffmann, La Roche.
Notons que le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. C’est une tumeur maligne qui se développe au niveau du sein. Il se manifeste par une prolifération anormale de cellules de l’organisme au niveau de la glande mammaire. Le cancer du sein se développe dans les trois quarts des cas chez les femmes de plus de 50 ans. Il est la principale cause de mortalité chez la femme entre 35 et 65 ans.
D.Tagro
Cette rencontre avait pour objectifs notamment d’accentuer les connaissances des journalistes sur les cancers et celui du sein en particulier, améliorer la diffusion de l’information concernant cette pathologie et présenter la Campagne de Rose. Le constat, en effet, est que les hommes des médias présentent des lacunes dans leurs connaissances sur le cancer. Leur niveau de compréhension de la maladie de façon générale est très peu reluisant. Cet état de fait tire son origine d’une part de la documentation très variée et non spécifique mais aussi du manque de travail scientifique de l’information donnée. Il existe alors aujourd’hui, selon le PNLCa, un réel besoin d’informations concernant la santé, surtout dans le domaine du cancer car, de nombreuses études ont souligné qu’une information de qualité améliore le diagnostic précoce des cancers.
L’atelier de formation des journalistes de la lutte contre le cancer pour l’information et l’éducation (IEC/CCC) a été organisé par le ministère de la Santé et de l’hygiène publique (MSHP) à travers le PNLCa avec l’appui financier de Hoffmann, La Roche.
Notons que le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. C’est une tumeur maligne qui se développe au niveau du sein. Il se manifeste par une prolifération anormale de cellules de l’organisme au niveau de la glande mammaire. Le cancer du sein se développe dans les trois quarts des cas chez les femmes de plus de 50 ans. Il est la principale cause de mortalité chez la femme entre 35 et 65 ans.
D.Tagro
