Le Conseil exécutif de l'Union africaine a validé, la Charte sur la sécurité maritime devant être soumise samedi à la conférence des chefs d'Etats et de gouvernement des pays africains pour son adoption au cours du sommet sur la sécurité, la sûreté maritimes et le développement en Afrique, a-t-on appris vendredi de sources officielles à Lomé.
"Après avoir examiné jeudi cette charte, nous avons convenu que ce document accorde une belle place à la sécurité et à la sûreté maritime et nous avons recommandé aux chefs d'Etats et de gouvernements qu'en adoptant ce document, il faudrait élaborer des annexes qui vont aborder les questions de développement en vue d'accélérer le développement de l'économie bleue", a indiqué Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la Commission de l'Union africaine (UA).
D'après le projet de cette charte que Xinhua a obtenu copie ce vendredi dans la capitale politique togolaise, ce document juridique vise entre autres, à prévenir et réprimer la criminalité nationale et transnationale notamment le terrorisme, la piraterie, les vols à main armée à l'encontre des navires, le trafic de drogues, le trafic de migrants, la traite des personnes et les trafics illicites connexes de tous genres en mer, ainsi que la pêche illicite, non déclarée et non réglementées.
Il est également destiné à protéger l'environnement en général et l'environnement marin dans l'espace des Etats côtiers et insulaires, en particulier, mais aussi à promouvoir et renforcer la coopération dans les domaines de la sensibilisation au domaine maritime, la prévention par l'alerte précoce et la lutte contre la piraterie.
Il permettra aussi de créer des institutions nationales, régionales et continentales appropriées et assurer la mise en œuvre de politiques appropriées susceptibles de promouvoir la sûreté et la sécurité en mer.
Pour le président du Conseil exécutif, Moussa Kaki Mahamat, l'adoption de cette charte par la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Afrique, mettra à la disposition du continent, un instrument devant faciliter la mise en commun des moyens, la mise en place des mécanismes de coordination et de surveillance de l'espace maritime africain.
"L'adoption de cette charte permettra aussi l'établissement d'un cadre unifié de lutte contre les menaces pesant sur l'espace maritime, la promotion du commerce, l'exploitation des immenses potentialités du domaine maritime, la création de richesse et d'emploi dans plusieurs secteur, bref le développement d'une économie bleue dans toutes ses dimensions", a-t-il souligné.
"Après avoir examiné jeudi cette charte, nous avons convenu que ce document accorde une belle place à la sécurité et à la sûreté maritime et nous avons recommandé aux chefs d'Etats et de gouvernements qu'en adoptant ce document, il faudrait élaborer des annexes qui vont aborder les questions de développement en vue d'accélérer le développement de l'économie bleue", a indiqué Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la Commission de l'Union africaine (UA).
D'après le projet de cette charte que Xinhua a obtenu copie ce vendredi dans la capitale politique togolaise, ce document juridique vise entre autres, à prévenir et réprimer la criminalité nationale et transnationale notamment le terrorisme, la piraterie, les vols à main armée à l'encontre des navires, le trafic de drogues, le trafic de migrants, la traite des personnes et les trafics illicites connexes de tous genres en mer, ainsi que la pêche illicite, non déclarée et non réglementées.
Il est également destiné à protéger l'environnement en général et l'environnement marin dans l'espace des Etats côtiers et insulaires, en particulier, mais aussi à promouvoir et renforcer la coopération dans les domaines de la sensibilisation au domaine maritime, la prévention par l'alerte précoce et la lutte contre la piraterie.
Il permettra aussi de créer des institutions nationales, régionales et continentales appropriées et assurer la mise en œuvre de politiques appropriées susceptibles de promouvoir la sûreté et la sécurité en mer.
Pour le président du Conseil exécutif, Moussa Kaki Mahamat, l'adoption de cette charte par la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Afrique, mettra à la disposition du continent, un instrument devant faciliter la mise en commun des moyens, la mise en place des mécanismes de coordination et de surveillance de l'espace maritime africain.
"L'adoption de cette charte permettra aussi l'établissement d'un cadre unifié de lutte contre les menaces pesant sur l'espace maritime, la promotion du commerce, l'exploitation des immenses potentialités du domaine maritime, la création de richesse et d'emploi dans plusieurs secteur, bref le développement d'une économie bleue dans toutes ses dimensions", a-t-il souligné.